samedi 17 septembre 2011

Journalisme de radiodiffusion et les nouveaux média électroniques


Le Président de l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), Karamoko Bamba, a animé une conférence mercredi (14 septembre 2011), à l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Abidjan. C’était au cours d’un atelier de restitution s’inscrivant dans un programme de renforcement de capacités des journalistes.

Contexte

Le thème : ‘‘Journalisme de radiodiffusion et les nouveaux média électroniques’’, avec pour modérateur, Ignace Kacou (Journaliste à Radio Côte d’Ivoire, lauréat du prix du meilleur Journaliste Radio 2009 en Côte d’Ivoire). Les deux confrères reviennent d’un périple aux USA ; voyage qui les a conduits notamment à Washington DC, San Diégo en Californie, Louisville dans le Kentucky et Cincinnati dans l’état d’Ohio. Le séjour américain, dans le cadre du programme ‘‘Visiteurs internationaux’’ (du 8 au 26 août 2011) leur a permis d’échanger avec leurs collègues américains, des responsables d’organes de presse, des patrons de groupes de médias, des régulateurs du secteur des médias, des diplomates et bien d’autres personnes, de visiter des universités, centres de formation en communication et journalisme, des institutions, des monuments et bien d’autres sites touristiques.

La conférence

Elle avait pour but de permettre aux deux radioteurs, de partager avec leurs confrères de Côte d’Ivoire, les connaissances et expériences acquises durant la visite aux Etats-Unis. Ainsi, le message de bienvenue de M. Jonathan Cebra, nouveau Directeur du Centre Culturel Américain,
(Audio) (1'21'')

la parole a été donné à M. Karamoko Bamba, pour son exposé. (Audio) (12'33'')
Il y a eu ensuite l’étape des questions/réponses. Les discussions ont porté entre autres sur la régulation du secteur des médias aux Etats-Unis, la liberté de la presse et la sécurité des journalistes. Des questions relatives au financement des radios communautaires, à la grille des programmes et à la gestion du personnel de ces radios.

M. Mam Camara, Président de l’UNJCI (Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire) et le Prophète Ablé Guy, Président de l’Ordre des églises de Côte d’Ivoire ont honoré de leur présence, cette rencontre, aux côtés des animateurs, journalistes et techniciens des radios privées non commerciales venus aussi bien du District d’Abidjan que de l’intérieur du pays.

Ce qu’ils retiennent

A la fin des échanges, nous avons recueilli les avis de certains participants, sur la rencontre.

Doh Guy Marcel Bitchinch (Directeur des programmes de Radio Agboville)
(0'26'')

Yves Canisius (Radio Attécoubé Fm)
(0'17'')

Stéphanie Aké (Radio Amitié Yopougon)
(0'38'')

Roger Saiba (Producteur Radio)
(0'19'')


Biographie des Conférenciers (Par l'Ambassade des Etats-Unis)

Monsieur Jonathan Cebra est le Directeur du Centre culturel Américain à l'Ambassade des Etats-Unis à Abidjan. Monsieur Cebra totalise une expérience de 16 ans d'abord à l'Agence d'Information des Etats-Unis et puis au Département d'Etat. Avant d'arriver en Côte d'Ivoire, Monsieur Cebra a servi à Peshawar, Pakistan ; Erbil, et Diyala, Irak ; Dhaka, Bangladesh ; Varsovie, Poland et Washington DC. Mr Cebra a également travaillé pour IREX, une organisation non-gouvernementale, chargé des programmes d'échange académique. Il est diplômé de l'Université de Pennsylvanie et de l'Université de Wisconsin.

Monsieur Ignace Kacou est journaliste à Radio Côte d'Ivoire et lauréat du prix du Meilleur Journaliste Radio en 2009 pour son reportage sur le retour des personnes déplacées à Bangolo à l'ouest de la Côte d'Ivoire. Lequel lui a été décerné par l'Union Nationale des Journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI). Monsieur Kacou est titulaire d'un diplôme supérieur en Communication et d'une Licence en Criminologie obtenus respectivement à l'Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC) et à l'Université de Cocody, Abidjan.

Monsieur Karamoko Bamba est le Président de l'Union des Radios de Proximité de Côte d'Ivoire (URPCI) et Directeur de la Radio Djély FM, une radio de proximité située à Mankono dans le nord de la Côte d'Ivoire. Monsieur Karamoko est titulaire d'un diplôme de Gestion des Radios communautaires et d'un Certificat d'Enseignement d'Education permanente obtenus respectivement au Centre d'Etudes des Sciences et techniques de l'Information de Dakar, Sénégal et à l'Institut National de la Jeunesse et des Sports à Abidjan.

vendredi 16 septembre 2011

Média SOS pour Thomas Makaya

Par l'Inter, vendredi 16 septembre 2011


Qui ne se souvient de ce ”Bonjour” de Thomas Makaya lorsqu’il était journaliste à radio Côte d’Ivoire. En effet, Thomas Makaya avec cette façon inédite de commencer son journal, s’était fait remarquer. Cette notoriété lui avait permis d’être recruté par l’Organisation des Nations-Unies en Côte d’Ivoire (Onuci). C’est cet homme, à la voix chaleureuse et captivante qui est en train de lutter contre la mort en ce moment. Nous l’avons retrouvé hier, jeudi 15 septembre 2011, dans ses appartements de Marcory non loin de l’église Sainte Bernadette. Avec beaucoup de peine, il a indiqué qu’il y a deux vendredis, il s’est levé les lèvres enflées avec une forte coloration rougeâtre. « Le mal était très violent. C’était le feu dans ma bouche. Je suis allé dans une grande clinique de la place, ils ont fait des examens dont je n’ai pas encore le résultat… », nous a-t-il dit les yeux hagards. « Je n’avale que de la bouillie. On m’a également donné une recette de légumes que je consomme… », note-il, tout en demandant de l’aide, surtout au Président Alassane Ouattara, au Premier ministre Guillaume Soro et au ministre des Finances, Charles Diby Koffi. « Je souhaite que le Président Alassane Ouattara se souvienne de nos rapports pour qu’il puisse m’aider ne m’envoyant en occident me faire traiter. Lorsque j’avais eu mal aux pieds, le Premier ministre Guillaume Soro et le ministre des Finances, Charles Koffi Diby m’avaient déjà aidé. Je suis encore dans un état lamentable. Qu’ils fassent encore quelque chose pour moi… », nous a-t-il relaté au bord des larmes, tout seul avec sa fille de maison. Thomas Makaya est âgé de 56 ans.

Dans l'Inter d'aujourd'hui (vendredi 16 septembre 2011)

jeudi 15 septembre 2011

ça redémarre

Bonjour/Bonsoir à tous,

Après plusieurs mois sans publications sur notre blog, je viens vous annoncer, non sans m'excuser auprès de vous pour cette longue absence, que les échanges reprennent dans quelques heures. C'est le lieu de signaler que nous mettrons à votre disposition, aussi bien des sujets actuels que des informations "anciennes", du point de vue de la date de publication. Il est toujours bon de savoir. De plus, on a très souvent recours aux archives.
Vous aurez également droit à d'autres rubriques, entre autres " Eclairage " (réponses à certaines questions que nous nous posons souvent), entre confrères/collègues et aussi par des experts (en cas de besoin) et "opportunités" (stages, emplois, collaborations, projets, formations, etc)

lundi 14 février 2011

DRAME A RADIO ESPOIR


Par Radio Espoir, le 14 février 2011

Au moment où Radio Espoir lance l’opération dénommée « Fondation Nouvelle Vision »
pour consolider ses acquis, elle vient d’être plombée par un drame. Le car de liaison
« Marthe BLOHORN » de Radio Espoir d’une quarantaine de places en partance
pour Daoukro pour des funérailles est parti en fumée le vendredi12 Février 2011
sur l’axe Abidjan Azaguié. Le car a été complètement calciné par les flammes.
Heureusement, nous ne comptons aucune perte en vies humaines. Cependant de nombreux
dégâts matériels sont à signaler.
Dieu nous garde.

vendredi 4 février 2011

Une journaliste assassinée par son visiteur

Par Soir Info, le vendredi 4 février 2O11


Cruel destin que celui d’Adja Diané, née le 17 juin 1979 à Bouaké et rédactrice-éditorialiste à « Ipetrolenews.info », bulletin d’informations qui traite exclusivement de l'actualité sur les hydrocarbures. Hier jeudi 3 février, elle a été assassinée à son domicile, à Marcory. Précisément à « Petit-Barbes », non loin du Collège moderne « La Grâce ». Mais qui a pu commettre un tel crime et pour quel motif? Des interrogations qui ne peuvent, pour l'heure, trouver de réponses. Cependant, revenons sur les faits. Selon les renseignements recueillis sur le lieu du meurtre, Adja Diané qui loue une chambre au domicile du vieux Vangah, depuis mars 2010, part acheter, aux environs de 8h, de la nourriture (placali). C’est chez la vendeuse juste en face de chez elle. Son « petit déjeuner » en main, elle s’enferme dans son local. Et depuis sa chambre, on entend Adja converser avec un visiteur en « malinké ». Et
tout d’un coup, elle pousse un cri et on perçoit parfaitement d’elle, ce bout de phrase : « Il va me tuer ! » Le vieux Vangah assis au salon, sursaute. Croyant que les cris de détresse proviennent de la chambre de l’une de ses filles à lui, il demande à cette dernière ce qui se passe ? Celle-là n’est pas concernée. Cependant, la fille du vieil homme s’oriente vers la chambre d’Adja et frappe à la porte. En vain. Et c’est le visiteur qui une fois sorti de la pièce, répond au propriétaire de la maison qu’Adja est juste malade. Et se tenant à la porte de la cour, il hôte son tee-shirt de couleur noire et essuie des traces de sang sur son cou. Puis, il retourne dans la pièce. Jusque là, personne ne s’en offusque vraiment. On pense que le jeune homme, la vingtaine, est le cadet d’Adja. Adja avec laquelle, il a juste eu une « dispute familiale ». Les instants d’après, on le voit quitter la pièce et s’en
aller tranquillement. Et c’est peu après, aux environs de 9h, qu’Adja, avec la porte entrouverte, est découverte couchée à même le sol. Inerte. Dans une mare de sang. Dès cet instant, le jeune visiteur est le suspect n° 1. Il faut vite le rattraper. On se lance alors à ses trousses. Mais trop tard, il s’est déjà fondu dans la nature. Le commissaire de police du 9ème arrondissement alerté se déporte sur les lieux, avec des collaborateurs. Le constat d'usage révèle que la jeune dame a été tuée de plusieurs coups de couteau, dont les plus fatals sont ceux portés à l’abdomen. D’ailleurs, le gros poignard qui a servi à commettre le crime traînait à même le sol. Tout comme le pantalon ensanglanté de l’assassin, qui s’en est débarrassé. Ce qui laisse croire qu’il devrait certainement être vêtu de deux pantalons au moment du crime. Des agents des pompes funèbres réquisitionnés enlèvent, plus tard, le corps de la
journaliste pour sa conservation à la morgue. Une enquête est ouverte afin de mettre le grappin sur le tueur et élucider l’opinion sur ce crime. Et pour ce faire, nous dit-on, la police est en possession d’importants indices. Signalons qu’informés, le patron de la défunte Adja Diané et ses collègues se sont rendus sur les lieux. La désolation était à son comble. Dans l’entourage, personne ne pouvait se contenir devant ce crime révoltant. Surtout qu’Adja est dépeinte, dans son quartier, comme attachante et sans histoire.

Madeleine TANOU

samedi 22 janvier 2011

Côte d’Ivoire : médias locaux, ressaisissez-vous !

Par Radio NEDERLAND (www.rnw.nl), le 14 janvier 2011

Avec ses multiples rebondissements et ses retournements spectaculaires, l’actuelle crise juridico-politique ivoirienne ressemble à un thriller hollywoodien; un thriller avec deux protagonistes, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara ; un thriller dans lequel les médias tiennent un rôle ambigu, ambivalent et difficilement ‘cataloguable’ entre désinformation et propagande.



La presse ivoirienne est si abondante avec ses magazines, ses quotidiens et hebdomadaires pour lesquels il est difficile d’opérer un choix avec ces ‘unes’ aussi contradictoires qu’opposées sur le même sujet ; des ‘unes’ qui donnent quotidiennement de la matière à disserter aux ‘titrologues’.

Titrologues : nouvelle catégorie de lecteurs
Eux, ce sont les ‘titrologues’ ; c’est comme ça qu’on les appelle à Abidjan. Ce sont des passionnés de la presse papier, mais des passionnés qui n’achètent jamais de journaux. Paradoxe !
Chaque jour, à la première heure, ils se pointent en masse devant les kiosques de vente de journaux, ils lisent et mémorisent les grands titres et passent de longues heures à épiloguer entre amis sur le contenu des journaux qu’ils n’ont pas lu, répandant ainsi des rumeurs qui déplaisent à Bah Paul.
"Il faut se méfier des titrologues" s’offusque Bah, qui se présente comme analyste politique.
Beugré Charles, titrologue invétéré, résidant à Yopougon, affirme que le contenu n’a rien à voir avec le titre et que l’information est de toute façon traitée de manière non professionnelle.

Presse exagérément partisane
"Des journaux peuvent se réclamer proches d’un quelconque parti politique ou d’un autre. Ça, ça existe partout dans le monde. Mais de là à en devenir des caisses de résonnance de ces partis politiques, c’est insoutenable. Comprenez que je refuse d’en acheter", affirme Djika Marcel, blasé par l’attitude de la presse locale.Lire suite

mercredi 19 janvier 2011

LA PEUR D’EXERCER LE METIER DE JOURNALISTE WEB

Par FLASHINFO, le mercredi 19 janvier 2011

Il n’est vraiment pas bon d’exercer le métier de journaliste ces temps qui courent en Côte d’Ivoire. Et surtout de journalistes WEB. A moins d’être du bon camp (c’est selon) et servir sans toute fois émettre des réserves. Pour tous ceux qui s’hasarderaient à enfreindre à cette règle, ils doivent avoir constamment en mémoire ce qui est arrivé à Jean Hélène, le correspondant de RFI abattu en plein plateau et surtout la disparition comme par enchantement de Guy André Kieffer en pleine journée également au Plateau, le centre des affaires à Abidjan.


Aujourd’hui plus que jamais, la menace est réelle même si jusqu’à présent aucun journaliste n’a été interpellé ni même inquiété physiquement. Le phénomène à laquelle l’on assiste est plus remarquable chez les journalistes WEB à cause de l’interactivité sur le Web à travers les commentaires. A longueur de journée, les journalistes Web sont menacés pour leurs opinions. Lire suite


CHEICKNA D. Salif

vendredi 14 janvier 2011

Une journaliste française rudoyée à Abobo

Par Nord-Sud, le vendredi 14 janvier 2011

Une journaliste française envoyée spéciale du journal Le Monde a été brutalisée dans la commune d'Abobo, hier, où elle se trouvait dans le cadre de son travail. L'information a été confirmée par l'ambassade de France en Côte d'Ivoire qui a également rectifié qu'elle n'a pas été enlevée. Comme les premières nouvelles l'ont fait croire.

jeudi 13 janvier 2011

En visite à l’Istc / Ouattara Gnonzié (ministre de la Communication) rassure: «Toutes les mesures sont prises pour éviter d’éventuels désagréments sur


Par Le Temps, le jeudi 13 janvier 2011


Le ministre de la Communication, Ouattara Gnonzié notamment, a visité, hier, matin à Cocody, l’Institut des sciences et techniques de la communication (Istc). Il en a profité pour rassurer les Ivoiriens sur les dispositions prises pour éviter d’éventuelles troubles sur la première chaine de la télévision ivoirienne comme cela a été le cas il y a quelques jours. «Tout est mis en œuvre par le Président Gbagbo pour que les désagréments que nous avons subits ne se répètent plus », a confié le nouveau ministre de la Communication. Selon lui, la première étape, l’Istc, de la série de visites qu’il a initiée, n’est pas fortuite. A l’entendre, c’est un signal fort qui traduit la volonté du Président Laurent Gbagbo d’assainir le monde et l’environnement de la communication. « Le fonds de développement de la presse que le Président Gbagbo a créé, on le trouve rarement dans les pays qui nous entourent, a-t-il souligné. Il exonère les intrants pour la fabrication des journaux. Il a offert une maison de la presse aux journalistes ivoiriens. Et il entend initier bien d’autres actions pour la presse ivoirienne ». Pour Ouattara Gnonzié, c’est la volonté politique du Président Gbagbo d’indiquer la voie royale pour embrasser les métiers de la communication. Il a fait cas de ce que Gbagbo reste logique avec lui-même parce que la loi sur la presse en Côte d’Ivoire dit clairement que: « pour être journaliste en Côte d’Ivoire, il faut être détenteur d’un diplôme obtenu dans une école de journalisme. Lire suite

mercredi 12 janvier 2011

Radio Espoir : Décès de la présidente du club des amis


Le club des amis de Radio Espoir vient de perdre sa présidente. Mme ADOLE Casilde est décédée le lundi 3 janvier dernier. En attendant le programme des obsèques, amis et connaissances adressent leurs condoléances à la famille éplorée et à l’équipe de la radio. Cela, à travers à une page dédiée à cet effet sur la plateforme Facebook de cette radio catholique.


Crédit Photo : Radio Espoir, Website

dimanche 2 janvier 2011

La Radio du Rhdp émet désormais à l’intérieur du pays

Par l'Intelligent d'Abidjan, le 31 déc.2010


La Radio Côte d’Ivoire, ‘’la voix du rassemblement’’, la radio du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) émet depuis quelques jours en dehors du district d’Abidjan.
‘’La Radio Côte d’Ivoire, la voix du rassemblement’’ qui émettait jusque là uniquement dans le district d’Abidjan a atteint depuis quelques temps une dimension nationale. Ce canal d’information peut être écouté désormais par les populations de plusieurs villes de l’intérieur du pays, dont Man, Gagnoa, Bouaké. Les Ivoiriens qui résident dans des localités comme Katiola, Dabakala, Ferkessédougou et Korhogo peuvent également capter cette radio. A travers ce moyen de communication, les militants du Rhdp et les Ivoiriens pourront suivre le Conseil du gouvernement du Premier ministre Guillaume Soro qui se déroule quotidiennement au Golf Hôtel à Abidjan ainsi que les conférences de presse des personnalités du Rhdp dont Henri Konan Bédié. A travers ‘‘la voix du Rassemblement’’, les populations de ces agglomérations ont problement écouté l’adresse à la nation à l’occasion du nouvel an du président Alassane Ouattara. L’émission de cette radio à en croire ses auditeurs constitue une bouffée d’oxygène d’autant plus que la Rti est brouillée depuis près d’une semaine dans ces différentes localités3

Touré Abdoulaye