mercredi 15 décembre 2010

Assemblée générale de l’Upf : ABDELMOUAIM DILAMI SUCCEDE A ALFRED DAN MOUSSA

Par Fraternité Matin, le lundi 13 décembre 2010


Le Comité international de l’Union internationale de la presse francophone s’est réuni en assemblée générale les 10 et 11 décembre 2010 à Paris, au Centre d’accueil de la presse étrangère (Cape).


A l’issue de cette assemblée générale de l’Upf, le Marocain Abdelmounaïm, directeur général du quotidien L’Economiste, précédemment président de la section marocaine et vice-président international, a été élu président international de l’Upf.

Il succède à l’Ivoirien Alfred Dan Moussa, directeur du développement des rédactions du groupe Fraternité Matin, qui a dirigé l’Union internationale de la presse francophone pendant les trois dernières années, de décembre 2007 à décembre 2010. Lire suite

Presse en ligne : POUR UNE VALORISATION DU CONTENU IVOIRIEN


Par Fraternité Matin, le 11 décembre 2010

Le 04 décembre est la Journée Mondiale des Données Libres, dénommée « Hackathon ». A cette date les citoyens de plusieurs villes de la planète sont invités à se rassembler pour écrire des applications utilisant des données ouvertes pour encourager l’adoption des politiques d’ouverture des données par les élus locaux et les gouvernements. En Côte d’Ivoire, l’événement a été célébré en ligne par les internautes ivoiriens à l’initiative de l’ONG Akendewa. Lire suite


Ghislaine ATTA

ghislaine.atta@fratmat.info

Ivoire Blog Awards: 1er Concours de blogs en Côte d’Ivoire


Par Avenue225.com, le 8 décembre 2010

Afin de soutenir la production d’informations alternatives et l’expression des citoyens, l’Association Avenue Afrique organise Ivoire Blogs Awards. Le premier concours de blog à l’intention des blogueurs ivoiriens, ou des blogs sur la Côte d’Ivoire.

L’Association Avenue Afrique vise à offrir un espace d’expression et de débat alternatif et participatif, ouvert à tous les citoyens africains à travers le monde. Elle propose également de se saisir des nouvelles technologies, et particulièrement de plates-formes collaboratives d’édition et de publication web de contenus tel que les blogs, pour montrer le quotidien de ces pays le plus souvent défavorisés du point de vue des médias et en déficit d’informations critiques.

La compétition est donc ouverte ! Pour connaître les critères, le calendrier, les prix, les membres du Jury … rendez-vous sur le site du concours.

Prix Lorenzo Natali : LE 2ème PRIX AFRIQUE A FRATMAT.INFO


Par Fraternité Matin, le mercredi 8 décembre 2010

Notre collaborateur Théodore Kouadio a été désigné gagnant du deuxième prix du Prix Lorenzo Natali édition 2010 lundi dernier à Bruxelles.

Théodore Kouadio a été déclaré lauréat dans la région Afrique pour son article intitulé « Enlèvements d’enfants » paru sur notre site il y a quelques mois. Le 1er prix Afrique est revenu à Kipchumba Some du Kenya.

Avec plus de 1100 articles provenant du monde entier, cette édition 2010 du Prix Lorenzo Natali a connu un « immense succès » selon les organisateurs. 18 postulants, à raison de trois par continent et trois autres dans les catégories Grand Prix, Prix Spécial radio et Prix Spécial TV, ont été nominés au terme des délibérations dont notre collaborateur Théodore Kouadio.


E. KODJO

elvis.kodjo@fratmat.info

mardi 14 décembre 2010

Les programmes de la 105.1 FM interrompus

Le CNCA (Conseil National de la Communication Audiovisuelle)a mis fin aux activités de la radio du RHDP, quelques heures après son apparition sur la bande FM. Elle a été qualifiée de radio pirate, dans un communiqué de l'instance de régulation.

lundi 13 décembre 2010

Radio Man FM saccagée

La radio du Conseil général de Man (ville de l'ouest de la Côte d'ivoire) dénommée Man FM a été mise à sac par des manifestants. Selon le Directeur de la radio, Kpan Guillaume, l'attaque a eu lieu le jeudi 3 décembre dernier. Aux environs de 17 heures, une foule de gens déchaînées s'en est pris aux locaux du Conseil Général et aussi à ceux de la radio qu'il abrite, nous a t-il dit en substance dans une correspondance.
"Néanmoins, l'essentiel du matériel technique et informatique a été bien avant sécurisé " affirme le Directeur de la radio. Il a aussi précisé que la remise en marche de Man FM dépendra de l'amélioration de la situation socio-politique dans la région. Il est à noter que la ville de Man, à 570 kms d'Abidjan, est tenue par la rébellion des Forces Nouvelles et ce, depuis le déclenchement de la crise ivoirienne en 2002. Près de cinq (5) stations de radiodiffusion y cohabitent.

Le Rhdp a sa radio - C’est sur la fréquence 105.1 Fm

Par Le Nouveau Réveil, le 13 décembre 2010

Véritable soulagement pour le Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Cette formation politique a désormais sa radio. Elle émet sur la fréquence 105.1. Cette onde vient combler un grand vide. En effet, depuis l`accession de Gbagbo au pouvoir, le Rhdp est privé des médias publics. La Radio diffusion télévision ivoirienne(Rti) notamment. Cette exclusion s`est accrue lors de la campagne électorale et aggravée après les résultats qui ont donné vainqueur le candidat du Rhdp. Depuis, le camp Gbagbo qui a suspendu les chaines étrangères ne fait qu`utiliser la Rti pour intoxiquer la population. Face donc à ce manquement grave, le président Ouattara et sa dynamique équipe ont choisi de donner la réplique par la naissance de cette radio. Elle est fonctionnelle depuis hier et écoutée déjà par de nombreux auditeurs qui ne boudent pas leur plaisir. Elle est prête à informer l`ensemble des Ivoiriens et les invite à visiter cette fréquence. Mais ce n`est pas tout. Le Rhdp a encore une belle surprise pour toutes les populations éprises de paix et de justice. Dans les jours à venir, une télévision sera mise également à leur disposition. Ainsi, elles pourront s`exprimer librement et donner des informations justes, équilibrées et sans haine. Une télévision et une radio à la disposition de tous pour la victoire de toute la Côte d`Ivoire une et indivisible. Un rêve qu`a toujours caressé le Rhdp.

Dje km
cathycelio@yahoo.fr

Dabakala : Les émissions de la RTI interdites aux populations

Par l'AIP (Agence Ivoirienne de Presse ), le vendredi 10 décembre 2010

Les autorités locales des Forces nouvelles (FN, ex-rébellion) ont suspendu les émissions de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) dans la localité de Dabakala, centre-nord, région de la Vallée du Bandama, a constaté sur place l’AIP.

Intoxication, haine… : Onuci-Fm, comme la radio des mille collines

Par Le Temps, le 8 décembre 2010

«Onu-ci Fm», c’est la radio des Nations unies en Côte d’Ivoire. En principe Radio de la paix comme l’indique son générique. Malheureusement, celle-ci est en train de dévier de sa mission première qui lui était assignée lors de son implantation en Côte d’Ivoire. Aujourd’hui, elle est devenue la « Radio télévision libre des mille collines », cette radio rwandaise qui a émis du 8 juillet 1993 au 9 juillet 1994 répandant une propagande haineuse contre les Tutsi et les Hutu modérés. Elle a décidé tout comme son patron, Young Yin-Choi de jeter le discrédit sur les autorités ivoiriennes, les Institutions de la République et particulièrement le Président de la République, Laurent Gbagbo. Cette radio qui prend directement ses instructions auprès de son patron appelle les concitoyens ivoiriens à ne pas reconnaître l’autorité du chef de l’Etat Laurent Gbagbo. Elle présente Laurent Gbagbo comme un dictateur, un sanguinaire, un putschiste, qui s’accroche au pouvoir alors qu’il a été battu par son rival politique Alassane Dramane Ouattara. A l’opposé, cette même radio présente Alassane Dramane Ouattara, qui s’est autoproclamé depuis quelques jours Président de la République, dans un hôtel de « passe », et qui s’est barricadé avec ses petits camarades comme le Président démocratiquement élu. Et pourtant, tout le monde y compris M. Choi sait que le Président de la République s’appelle Laurent Gbagbo. Plus grave, M. Choi fait intervenir sur ses antennes des personnes qui développent les sentiments de haine, de vengeance. En le faisant, la Radio télévision libre des mille collines qui émet sur les collines de l’Hôtel Sebroko veut créer une guerre civile en Côte d’Ivoire. En tout cas, à défaut de suspendre ses fréquences comme c’est le cas des autres stations étrangères, les initiateurs de cette radio semeur de haine doivent avoir le sens de la responsabilité et travailler sur les routes de la paix comme l’indique l’un de leurs slogans. Car, ils sont responsables en grande partie de cette nouvelle crise que vit la Côte d’Ivoire, depuis quelques jours.

Joseph Atoumgbré
attjoseph@yahoo.fr

ONUCI-FM - La radio de la guerre !

Par Notre Voie, le 6 décembre 2010

On aura vraiment tout vu pendant cette crise. Une radio d'une organisation internationale sensée travailler à la paix et à la cohésion nationale, se transformer sans vergogne en une radio de propagande au service d'un candidat. Avec pour conséquence la crispation des positions et la montée des tensions. C'est malheureusement le triste et affligeant spectacle que ONUCI-FM offre aux ivoiriens depuis quelques jours. Des reportages tronqués. Un black-out total sur l'investiture du président Laurent Gbagbo. Diffusion de propos attribués à des chefs d'Etat étrangers, notamment européens disant ne pas reconnaître le chef de l'Etat ivoirien. L'annonce d'acte de rébellion comme la supposée prestation de serment de M. Ouattara ou la supposée nomination de M. Soro comme son premier ministre. C'est ce cocktail nocif qu'ONUCI-FM diffuse en longueur de journée. Foulant au pied les règles élémentaires du métier de journaliste et de la décence.

Et dire que cette radio était supposée être truffée de journalistes expérimentés, si souvent prompts à donner des leçons. Mais le plus affligeant c'est qu'ONUCI-FM est en pleine dérive au vu et au su de tout le monde sans que personne ne trouve à redire. Les organes de régulations, notamment le conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA), sont interpellés. ONUCI-FM ne peut pas se cacher derrière le statut diplomatique de ses patrons pour déstabiliser un pays souverain. ONUCI-FM voudrait se comporter comme la radio Rwandaise des milles collines, qu'elle ne s'y prendrait pas autrement. Et voila l'organisation des nations unies elle-même en train de mettre le feu dans un pays où elle était supposée travailler au retour de la paix. Après se seront les même qui viendront donner des leçons dans des conférences interminables. Pauvre ONU. Pauvres fonctionnaires internationaux qui croient pouvoir décider pour les peuples africains. Pitié pour tous ces gens qui pour des salaires de misère livre leur pays en pâture tout simplement pour faire plaisir au maître français. Heureusement, la Côte d'Ivoire n'est pas le Rwanda. Et ONUCI-FM ne fait que se ridiculiser. Piteusement.


Guillaume T. Gbato

dimanche 12 décembre 2010

Atteinte à la liberté de la presse : Une journaliste de Nord-Sud agressée

Par Nord-Sud, le vendredi 10 décembre 2010

La scène qui s’est déroulée, hier, à la tour C du Plateau est tout simplement scandaleuse. Notre collègue, Adélaïde Konin, a été agressée au Plateau par des partisans de Laurent Gbagbo alors qu’elle couvrait la reprise des activités dans l’administration. Une couverture qui a coïncidé avec une série de passations de charges de certains ministères logés à la cité administrative. A 15 heures, à la tour C, où se trouve le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, notre collègue est présente au 20e étage à l’occasion de l’installation de Kata Kéké détenteur du portefeuille de la Recherche scientifique du gouvernement Aké N’Gbo. Comme l’aurait fait tout bon journaliste, elle décide d’assister à la cérémonie. Mais Adélaïde Konin sera prise à partie. Pis, ses agresseurs sont d’abord des confrères, notamment Brice Dagou Zouzoua, journaliste à la télévision nationale, et Gaston Boni de la radio nationale, aidés de leurs cameramen. Que reproche-t-on à notre collaboratrice ? «Elle a été envoyée pour vous espionner », a lâché Gaston Boni à l’endroit des organisateurs. Comme si cette fausse accusation ne suffisait pas, Brice Dago Zouzoua a réprimandé la consœur, lui reprochant de couvrir un événement auquel elle n’est pas conviée. Elle s’est vu par la suite confisquer son carnet de notes, sa carte de presse, sa carte d’identité et ses deux téléphones portables par des agents des forces de l’ordre et de sécurité. Rudoyée pendant une vingtaine de minutes, les hommes en treillis remettent à la journaliste ses pièces et téléphones qu’ils avaient pris, et retiennent son carnet de note et carnet d’adresse, c’est une collègue traumatisée qu’une équipe de la rédaction est venue recueillir au pied de la tour C vers 17 heures. Pourquoi autant de brutalité à l’égard d’une journaliste qui ne faisait que son travail ? Que cachent les proches du nouveau ministre ? Du reste, que se reprochent-ils ? Nous y reviendrons

Nesmon De Laure

vendredi 10 décembre 2010

Nominations à la RTI - Sy Savané bel et bien hors jeu

Par l'Intelligent d'Abidjan, le jeudi 9 décembre 2010

Suite à notre article aux nominations à la RTI paru hier , l'entourage d'Ibrahim Sy Savané a fait savoir qu'en tant ministre sortant il n'avait pas à être consulté. Ce qui signifie clairement que le ministre n'a pas été consulté. Il n'a donc pas donné son avis, et d'ailleurs il n'avait pas d'avis à donner. L'IA s'était inquiété de voir que des nominations ont été faites à la RTI de façon cavalière, comme en 2007 lorsque Kébé Yacouba avait été débarqué hors du Conseil d'Administration. Si le profil de Brou Aka Pascal et des autres responsables désignés fait l'unanimité, par contre des interrogations se font au sujet de la procédure. Durant son passage à la tête du Ministère, Sy Savané n'a pas souvent privilégié le limogeage, choisissant chaque fois, la pédagogie. La nomination de Brou Aka Pascal avait intrigué ceux qui se souviennent que pendant longtemps, Brou Amessan qui avait été nommé dans les mêmes conditions, a longtemps travaillé sans conseil d'administration. En attendant donc la formation complète du gouvernement et la reconduction ou non d'Ibrahim Sy Savané, qui soit dit en passant, envisagerait, selon son entourage, de se retirer de la vie politique, le ministre sortant de la Communication est bel et bien hors jeu dans les nominations à la RTI, comme l'a écrit l'IA hier

C.K

dimanche 21 novembre 2010

Yao Noël nommé directeur international de la rédaction de lebanco.net

Par Le Mandat, le jeudi 18 novembre 2010

rédaction du site d’informations générales, spécialisé dans les enquêtes, dossiers, reportages et documents exclusifs, principalement sur la Côte d’Ivoire vient de s’enrichir d’un grand nom de la presse en Côte d’Ivoire : Yao Noël. Celui-ci a été nommé par le promoteur du site et directeur de publication, Lucien Pouamon, directeur international de la rédaction. Yao Noël est actuellement directeur de l’Institut des droits de l’homme de l’Université de l’Atlantique d'Abidjan. Commissaire national aux droits de l'homme de Côte d'Ivoire, il est membre fondateur et premier président de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI). Lebanco.net qui caracole en tête des journaux en ligne les plus lus de Côte d’Ivoire, passe ainsi à la vitesse supérieure du traitement dynamique, instantané et direct de l’information.

samedi 20 novembre 2010

La Commission permanente du prix Ebony que dirige César Etou était face à la presse hier, à la Maison de la presse d’Abidjan (Mpa)

Par Le Temps, le vendredi 19 novembre 2010

Il s’agissait pour M. César Etou de communiquer officiellement, la liste des candidats retenus pour la compétition finale qui aura lieu en décembre prochain. « Pour l’édition 2010, ce sont en tout dix candidats dont 9 de la presse écrite et un de la télévision ivoirienne détenteurs de la Carte d’Identité de Journaliste Professionnel (Cjp) qui ont été retenus et dont les travaux répondent aux normes de rédaction des trois grands genres. Citons le reportage, l’enquête ou le dossier et l’Interview. Après cette première phase de sélection, il revient désormais au jury présidé par Franck Anderson Kouassi de statuer, noter et désigner les nominés, les Ebony et le super Ebony 2010 » a indiqué le président de la commission Ebony de l’ Unjci. Au nombre des 9 candidats de la presse écrite, citons Bamba Mafoumgbé, chef du service économie de Le Temps. Ce sont dix articles tous genres confondus de ce confrère qui ont été sélectionnés. Il s’agit en interview de 3 productions. La première avec Thierry Tano, vice- président de la Sfi. La deuxième avec Jean Louis Billon, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire et la troisième avec Konan Henri, Directeur exécutif du Fonds de Développement de l’hévéaculture (Fdh). En dossier ou enquête il s’agit de : 1 /fraude et contrefaçon sur les marques : «Ces fléaux qui tuent le tissu industriel ivoirien », 2/ mécanisme de fixation du prix des produits pétroliers à la pompe : « Ce qu’on ne dit jamais assez aux consommateurs » 3/ Financement de l’encasernement : Ce que Wattao refuse de dire à ses combattants. Enfin, en reportage, ce sont les productions intitulées : Libye : Bâtiments, Ntic et enseignement: « Dans l’univers des jeunes ivoiriens débrouillards à Tripoli » 2/ Cybercriminalité, fraude… : « Attention à ces maux qui rongent la Côte d’Ivoire ». Selon le président de la commission, qui avait à ses côtés, M. Mam Camara, président de l’Unjci, les travaux de recherches dans les archives des différents organes de presse ont porté sur 2352 dont 333 productions de la télévision.

Yolande Bahi

mercredi 17 novembre 2010

Les Jeunes Techniciens de la TV et du Cinéma créent une association


Par Abidjanshow.com, le mardi 16 novembre 2010


(AJTEC-CI) - Le samedi 13 novembre 2010 s’est tenue à Abidjan,l’Assemblée Générale Constitutive et Elective de l’Association des Jeunes Techniciens de la Télévision et du Cinéma de Côte d’Ivoire (AJTEC-CI).


L’AJTEC-CI a pour ambition de créer un réseau actif et porteur de valeur ajoutée, regroupant les jeunes évoluant dans les secteurs de la Télévision et du Cinéma, dans le but d’améliorer leur professionnalisme. La nouvelle association a pour objectifs de :

- veiller à la formation et au renforcement des capacités de ses membres ;

- valoriser le travail des jeunes techniciens opérant dans ces secteurs ;

- contribuer à la redynamisation du secteur cinématographique et de la télévision en Côte d’Ivoire ;

- contribuer à redonner le goût du cinéma aux ivoiriens et d’initier les plus jeunes à cette culture. Lire la suite

dimanche 14 novembre 2010

La presse locale se forme au droit international humanitaire à Bouaké


Par www.aip.ci, le 13 novembre 2010

Bouaké, 14 nov (AIP)- Des journalistes et correspondants de presse en poste, à Bouaké(390 Km au nord d'Abidjan, centre du pays, région de la Vallée du Bandama), ont été instruits, vendredi, sur le droit international humanitaire (DIH) ou le droit de la guerre, lors d’une séance de formation initiée par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Couverture du 2nd tour de la présidentielle ivoirienne : L’UNJCI exhorte les journalistes à plus de responsabilité

Par http://leblogdecheicknadsalif.ivoire-blog.com, le mercredi 10 novembre 2010



Mam Camara, président de l’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a exhorté ce mercredi 10 novembre, à Abidjan, les journalistes ivoiriens à plus de responsabilité dans le traitement de l’information au cours du second tour de l’élection présidentielle qui opposera, le 28 novembre, le président sortant Laurent Gbagbo, à l’ancien premier ministre Alassane Ouattara. Lire la suite

vendredi 12 novembre 2010

Bilan du monotoring des médias ivoiriens : Reporter Sans Frontière interpelle Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara

Par http://leblogdecheicknadsalif.ivoire-blog.com, le mercredi 10 novembre 2010



Reporter Sans Frontière (RSF) a exposé son bilan du monotoring des médias pendant la campagne du premier tour de l’élection présidentielle ivoirienne. Ce mercredi, à la maison de la presse, à Abidjan, RSF a distribué de bons points à la presse ivoirienne pour le traitement de l’information pendant la période de campagne électorale. Avant d’interpeller les deux candidats en lice pour le 2nd tour de la présidentielle.


Au-delà de la « couverture partisane de Notre Voie, Le Nouveau Réveil, et Le Patriote » qui ont « parfois donné lieu à des dérages », Jean François Julliard, secrétaire général de Reporter sans Frontière a reconnu dans l’ensemble que les médias de services publics, la télévision nationale, Radio Côte d’Ivoire et Fraternité Matin ont tiré leur épingle du jeu dans le traitement de l’information en ce qui concerne l’équilibre et l’équité lors de la campagne électorale. « Fraternité Matin a rempli sa mission de service public en offrant à ses lecteurs une information équilibrée et impartiale sur les 14 candidats en lice », a-t-il indiqué. En revanche, il a invité les trois quotidiens privés, Notre Voie, Le Nouveau Réveil et Le Patriote à « offrir à leurs lecteurs une information plus équilibrée durant le 2nd tour de la campagne.» Car selon Jean François Julliard, on peut travailler dans un organe proche d’un parti politique et respecter l’éthique et la déontologie.
RSF a observé un ton neutre dans les médias de l’audiovisuel public mais relèves que les temps d’antenne octroyés au président sortant étaient nettement supérieurs à ceux des autres candidats.
C’est pourquoi RSF a formulé les recommandations et engagements visant à remédier à toutes les insuffisances constatées lors de cette campagne. Il est donc demandé à la télévision 1ère chaîne et à Radio Côte d’Ivoire « d’assurer une couverture plus raisonnable des activités présidentielles de Laurent Gbagbo durant la campagne du second tour ». RSF a encouragé le Conseil National de la Presse (CNCA) à plus de vigilance « pour éviter les outrances qui ont nourri les crises du passé ».
RSF a demandé à Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara « de s’engager à respecter scrupuleusement la liberté de la presse et à garantir le pluralisme de l’information, notamment en libéralisant l’audiovisuel, s’ils sont élus ». Le secrétaire général de RSF a souhaité que le nouveau président de la République règle une fois bon l’affaire Guy André Kieffer et éclaire l’opinion sur toutes les circonstances de sa disparition. Et cela en vu d’instaurer en Côte d’Ivoire climat propice pour permettre aux journalistes de travailler convenablement.
CHEICKNA D. Salif

mercredi 10 novembre 2010

Campagne présidentielle : Les professionnels des médias fâchés

Par Nord-Sud, le 08 novembre 2010

«Les politiques nous ont banalisés…mais en 2015 ça ne se passera pas comme ça», a déclaré Rach N’guessan, président du comité de contrôle et de suivi de l’Union des professionnels des médias de Côte d’Ivoire(UPMCI), le 29 octobre dernier, à Cocody. C’était à l’occasion d’un dîner- gala qui marquait le redémarrage des activités de l’union qui prévoit rassembler ses membres et définir au mieux les objectifs à venir. Le journaliste sportif Rash N’Guessan qui représentait le président du comité d’administration, Soum St Félix, a tenu à revendiquer la place des professionnels ivoiriens des médias dans les différentes campagnes politiques. Car, les politiciens, selon lui, sont plus enclins à se référer aux médias de l’extérieur quand il s’agit de les «vendre ». Selon David Vincent Kipré qui a animé le thème : « Les professionnels des médias s’engagent pour des élections apaisées », l’association a désormais pour rôle de baliser l’apport des médias dans les différentes campagnes électorales. Car, « rien ne doit sortir du pays sans que les Ivoiriens aient leur mot à dire », affirme-t-il. Toutefois, l’UPMCI s’engage à une participation professionnelle et apaisée pour les élections.

K K F

samedi 30 octobre 2010

Abidjan 1 : bientôt la levée de suspension


Crédit Photo d'illustration : Pierre Martinot / Des Radios pour informer

C’est ce dimanche, 31 octobre 2010, qu’expire la période de suspension des émissions de Radio Abidjan 1. Les programmes de cette station de radiodiffusion privée non commerciale ont été suspendus le 16 octobre dernier par le CNCA (Conseil National de la Communication Audiovisuelle) et ce, pour une période de 15 jours.

Les raisons
Les faits remontent à la journée du 15 octobre 2010, lorsque le CNCA constate la diffusion, sur les antennes de ladite radio, d’un reportage relatif à la campagne présidentielle en Côte d’Ivoire. Sont intervenues dans cet élément de 02 minutes 39 secondes, dit le communiqué de cet organe de régulation, les personnes suivantes :
- M. ZIE Coulibaly pour le compte du candidat BEDIE Konan Aimé Henri;
- M. AMONDJI Pierre pour le compte du candidat GBAGBO Laurent;
- Le candidat OUATTARA Alassane

La décision N°2010-10 du 16 octobre 2010 – du CNCA – portant suspension de Radio Abidjan 1 relève en son Article 2 que ‘‘en agissant comme elle l’a fait, Radio ABIDJAN 1 a violé’’ la décision n°2010-08 du 13 octobre 2010 portant dérogation pour la diffusion des émissions relatives à la campagne électorale par les services de radiodiffusions sonores et télévisions privées non commerciales.


La campagne électorale sur les radios de proximité
Au regard du décret n°95-714 du 13 septembre 1995 fixant les règles de fonctionnement des radios de proximité, de la convention générale pour l’exploitation d’un service public de radiodiffusion et le cahier des charges liant l’Etat de Côte d’Ivoire aux radios privées non commerciales, il est interdit à celles-ci de produire des émissions à caractère politique. Cependant, en raison du rôle important que jouent les radios de proximité dans la cohésion sociale et en vue d’assurer une couverture médiatique réussie de l’élection présidentielle, le CNCA a fait, le 13 octobre dernier, une dérogation leur permettant de prendre une part active à cette autre étape de la sortie de crise en diffusant, en synchrone avec la RTI, les reportages dans les journaux télévisés et radiodiffusés, les magazines d'information, les émissions spéciales conçues et montées par les candidats et l'émission « Face aux électeurs » ( aucune de ces émissions ne peut faire l'objet de rediffusion, ni de commentaire ). Toutefois, cette dérogation indique qu’il leur est notamment interdit :
• de produire ou d’organiser les débats locaux relatifs aux élections sur leurs antennes ;
• de changer le contenu des émissions relayées ;
• de couvrir les activités des candidats.

La dérogation du 13 octobre 2010 a pris en compte la situation des radios émettant dans les zones CNO (Centre, Nord et Ouest), sous contrôle de l’ex-rébellion. En lieu et place de fermer - comme initialement demandé - pendant toute la période de la campagne qui s’est officiellement achevée ce vendredi à minuit, ils ont été priés de se conformer aussi bien aux dispositions de cette dérogation qu’aux règles régissant les radios de proximité (nommées, depuis quelques années, radios privées non commerciales, Cf. Loi 2004 sur la communication audiovisuelle en Côte d’Ivoire).

vendredi 29 octobre 2010

Un week-end de contes au Goethe Institut d’Abidjan

Crédit photo : Institut Goethe Côte d'Ivoire

Le Dr Massamba Guèye (Professeur d’université et présentateur à la Radio Télévision Sénégalaise ) était, il y a quelques jours, en Côte d'Ivoire. A l'invitation du centre culturel allemand, "La Bouche de l'Afrique" a animé deux importantes activités.


Samba, fils de voleur, petit-fils de menteurs

C’est le titre du principal conte qu’a dit, le vendredi 08 octobre dernier, le conteur venu de Dakar (Sénégal). Devant un beau public réuni sous la paillotte du Goethe Institut, Dr Massamba Guèye n’a pas manqué de mots ni de savoir-faire pour égayer son auditoire. La leçon à tirer de Samba, fils de voleur, petit-fils de menteurs est, selon l’orateur, la nécessité d’un bon héritage familial. Est-ce qu’il faut tout transmettre ? L’enfant doit-il hériter des mauvais caractères de ses parents ? s’interroge t-il dans ledit conte.

Extrait de Samba, fils de voleur, petit-fils de menteurs (2'55'')


Moralité (1'07'')




« Oralité et modes de communication modernes : enjeux et opportunités »

Au lendemain de la soirée de contes, soit le samedi 9 octobre 2010, Dr Massamba Guèye a dit une conférence. Il honorait ainsi l’invitation du club internet dudit institut. Sur le thème de cette conférence, à savoir : « Oralité et modes de communication modernes », le Professeur, écrivain et conteur a fait remarquer qu’il s’agit d’avoir une lecture situationnelle et des prospectives sur la manière dont la télévision, la radio et internet peuvent aider à promouvoir le patrimoine africain, ce savoir pendant longtemps gardé et transmis par l’oralité. En clair, il est question, toujours selon le conférencier, de rendre ce savoir disponible pour tout le monde comme ressource intellectuelle, mais aussi de le sauvegarder par cette démocratisation.

Dr Massamba Guèye (0'53'')



Les retrouvailles avec Binda Ngazolo


La présence à ses côtés du conteur-comédien-metteur en scène camerounais fut une agréable surprise pour Dr Massamba Guèye. Les deux ‘‘amis et frères’’ ont longuement échangé. A noter que Binda Ngazolo séjourne depuis peu à Abidjan, en résidence artistique à la Villa Kaïdin. Au menu de son nouveau séjour en Côte d’Ivoire, des soirées de contes et des spectacles en faveur d’écoliers, d’enfants défavorisés et d'orphelins.

mercredi 27 octobre 2010

L’ONUCI SENSIBILISE LES MEDIAS ET LES RELIGIEUX SUR LE DROIT ET LES ELECTIONS A KORHOGO

www.onuci.org, le 22 oct. 2010

L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire a sensibilisé ce jeudi 21 octobre 2010 à Korhogo, (580 Km au Nord d’Abidjan), des correspondants de presse, représentants des médias et leaders religieux sur le droit et les élections.

Selon Salif Boité, chargé des Droits de l’Homme de l’ONUCI, cette activité de promotion des droits de l’Homme s’inscrivait dans le cadre d’une série de sensibilisations sur le respect des normes internationales et des valeurs des droits de l’Homme en période électorale.

Il s’agit, a-t-il dit, de « sensibiliser les jeunesses des partis politiques, la société civile, les médias, les organisations non gouvernementales, les leaders religieux et les forces de l’ordre au respect des droits de l’Homme pendant les élections. Il s’agit d’impliquer ces acteurs du processus électoral, au respect de ces droits, pour une élection non violente et conforme aux standards internationaux ». Suite de l'article

dimanche 17 octobre 2010

ISTC FM affiche ses ambitions

L'Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC)dispose en son sein d'une radio et ce, depuis un an. ISTC FM émet sur la fréquence 103.8 MHz, dans un rayon pour l'instant pas très étendu.

A la faveur de la 6ème édition des journées du communicateur, le Directeur de l'Institut - M. Silué Jacques - s'est voulu plus clair quant aux missions de cette jeune radio. Invité de la rubrique " L'Évènement " ( sur Radio Côte d'Ivoire ), il a déclaré : << Depuis quelques temps, au-delà de la formation, nous essayons d'étendre nos missions aux prestations de services à travers deux (2) projets majeurs. Nous avons mis au point depuis octobre (2009, Ndlr) une radio non commerciale ; ce qu'on appelle communément les radios de proximité et qui est spécialisée dans la thématique population et développement et plus spécifiquement, cette radio veut être une radio d'information et de formation à l'éducation citoyenne >>

Pour la mise en oeuvre de sa station de radio, l'ISTC a bénéficié de l'appui financier et matériel de l'UNFPA (Fonds des Nations Unies pour la population)


Audio : L'Évènement avec M. Silué Jacques ( une production de Radio Côte d'Ivoire ) 9'49''

jeudi 14 octobre 2010

Agboville : la subvention de la radio ne cesse de chuter

Par www.avenue225.com, le 06 octobre 2010


L’Etat de Côte d’Ivoire a accordé une subvention à la radio locale d’Agboville pour son fonctionnement. Malheureusement depuis quelques années, cette subvention ne fait que dégringoler.

10 septembre 1999. La Radio « la Voix de l’Agnéby » (R.V.A) 95.2 fm d’Agboville (sud de la Côte d’Ivoire) voit le jour sous le mandat du précédent maire SOTCHI Aké M’bo Frédéric. L’objectif de sa création répond aux soucis d’accompagner et de soutenir les initiatives et activités de développement socio-économiques du département. Cette station radio a donc été crée pour accompagner le développement d’Agboville. Pour maintenir en bon état son matériel de fonctionnement, l’Etat de Côte d’Ivoire lui a accordé une subvention de 12 millions de francs CFA.

Mais depuis l’année 2001, la subvention ne fait que diminuée. De 12 millions en 1999, la subvention de la R.V.A. est passée à 3 millions après le conseil municipal du jeudi 30 septembre dernier. Des voix s’élèvent pour indexer le maire Tetchi Claude, la station étant sous sa tutelle. Chose étrange, c’est que depuis que la subvention de la radio a été accordée, rien n’a été ajouté ni remplacé. La subvention devrait donc rester stable, mais rien de tel.


Wenceslas Achy AKON, Agboville

RTI / Bilan de l’exercice 2008-2010 - Du nouveau matériel et des travaux d’extension enregistrés

Par l'Intelligent d'Abidjan, le mardi 12 octobre 2010

Les responsables de la Rti (Radiodiffusion télévision ivoirienne) ont procédé, le lundi 11 octobre 2010, à la salle de conférence Ben Soumahoro, à la double cérémonie de présentation du bilan de la gestion de l’entreprise et du plan d’aménagement et des travaux d’extension du bâtiment administratif. Par le truchement d’une visite guidée, la direction générale de la RTI a rendu témoignage de ses réalisations. A savoir la salle multimédia qui dispose d’un important équipement (caméras de production, tables de montage, matériels de transmission, des moniteurs et des magnétophones) et une salle de diffusion numérique et automatique. Représentant le ministre Ibrahim Sy Savané, Léandre Anouma Kanié, a rappelé la mission prépondérante de la Maison Bleue de Cocody, qui est de demeurer au service de tous les citoyens. Puisque, précise l’émissaire du Ministère de la communication, « le gouvernement ivoirien fait beaucoup pour que la Rti puisse avoir les moyens de fonctionner correctement. Bien qu’elle soit une société commerciale à part entière, (…) elle tire bénéfice de la redevance audiovisuelle ». A en croire M. Guié Honoré, Pca de la Rti, des mesures d’assainissement ont été prises depuis ces trois dernières années. Notamment la bonne gouvernance, la mise en place de nouveaux textes régissant la Rti conformément à la loi relative à la communication audiovisuelle et à la mise sur pied d’un nouvel organigramme axé sur les fonctions essentielles de la Rti. Aussi dira-t-il des mesures de redressement touchant la gestion des carrières et la formation sont à l’étude ainsi que la modernisation de l’outil de production, le matériel roulant (une quarantaine de véhicules acquis) et une légère croissance financière observée. M. Guié Honoré a, par ailleurs, reconnu que des efforts substantiels restent encore à faire. Pour les prochaines reformes, le Pca de la Rti a ouvert des chantiers. Il cite la maîtrise du cadre juridique et les procédures d’une gestion moderne (profil de carrière, fiches de postes, manuel, etc), le passage de la télévision nationale à l’ère du numérique et le développement du groupe Rti dans la perspective de la concurrence. Le Dg Brou Amessan Pierre Israël, a, quant à lui, réitéré la volonté de ses collaborateurs à jouer, avec responsabilité, le rôle qui est le leur en garantissant un accès équitable et égalitaire dans le traitement de tous les candidats.

Krou Patrick

lundi 11 octobre 2010

URPCI : Karamoko Bamba réelu pour un nouveau mandat

Photo : Site internet AMARC-Afrique

Les membres de l'Union des Radios de Proximité de Côte d'Ivoire ( URPCI ) ont tenu samedi dernier, à Abidjan, leur Assemblée Générale Ordinaire. Le Président sortant, Karamoko Bamba - par ailleurs Directeur de Radio Djély FM de Mankono et Trésorier de la section Afrique de l'Association Mondiale des Radiodiffuseurs Communautaires (AMARC) - a été reconduit à la tête de ladite union pour un nouveau mandat de 3 ans. Il a été plébiscité par la quasi-totalité des 78 responsables de Radios présents à cette Assemblée.

La Rti en deuil : Daniel Compaoré n'est plus

Par Frat Mat N°13776, Le Samedi 9 - Dimanche 10 octobre 2010

On n'entendra plus en live la voix de Daniel Compaoré à travers les ondes de Radio Côte d'Ivoire. Le journaliste sportif n'a pu surmonter une insuffisance rénale qui l'a malheureusement emporté hier matin (Ndlr Vendredi), au centre de dialyse du Chu de Cocody, à l'âge de 59 ans. Alors qu'il s'y était rendu dans le cadre des soins hebdomadaires qu'il reçoit depuis 6 ans. Journaliste à la Radio Côte d'Ivoire depuis 1974, Daniel Compaoré laisse une femme et quatre enfants. << Il souffrait depuis longtemps ... C'est une grosse perte pour nous. J'ai commencé la radio avec lui >>, lâche Jean Claude Bayala, reporter à ladite Radio. << C'est une nouvelle qui nous attriste. Je peux dire qu'il a guidé mes pas lorsque je rentrais à la Radio, au début des années 90. Il était très souffrant depuis quelques temps.>>, soutient Idris Konaté, chef du service des sports de la même Radio.
Né en 1951, Daniel Compaoré a fait toutes ses classes à Radio Côte d'Ivoire et a bourlingué sur plusieurs stades d'Afrique pour les besoins du métier. Mais tout s'est arrêté hier (Ndlr Vendredi) alors qu'il espérait reprendre le micro.
Comme si un malheur ne pouvait arriver seul, la direction commerciale de la Rti vient de perdre son chef de service. Mme Brime Blanche Colombe s'en est allée dans le silence du souffle qui s'échappe.

ADAM KHALIL

jeudi 7 octobre 2010

L’ONUCI initie une journée d’échanges sur le rôle des radios de proximité en période électorale

Par l'ONUCI, le 06 octobre 2010


Yamoussoukro, 6 Octobre 2010….Le Représentant spécial adjoint principal du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Abou Moussa, a insisté mercredi 6 octobre à Yamoussoukro, (245 km d’Abidjan), sur le rôle crucial des médias dans le processus électoral.

A l’ouverture d’une rencontre d’échanges et d’information avec les Concessionnaires sur le Rôle des Radios privées non commerciales en période électorale, organisée par l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), M Moussa a rappelé que les médias étaient un des critères de la certification du processus électoral, confiée au Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies pour la Côte d’Ivoire par le Conseil de sécurité. Suite


Entretien avec M. Hamadoun Touré (Porte-parole de l'ONUCI), sur le rôle des radios de proximité, à la faveur d'un séminaire de formation des animateurs de radios de proximité de Côte d’Ivoire sur la cohésion sociale et la promotion de la culture de la paix, du 20 au 24 avril 2009 à Abengourou)

mercredi 6 octobre 2010

Radios et télévisions des Zones CNO pendant la période électorale : véritable dialogue de sourds

Les instructions du Premier Ministre Guillaume Soro, au sujet de l'interdiction pour les organes de presse (radios et télés) non autorisées d'émettre pendant toute la campagne électorale et permettre à la RTI (Radiodiffusion Télévision Ivoirienne) de ''mettre les populations au même niveau d'information'' semblent ne pas avoir été bien perçues.

Pour rappel, cette décision fait suite à la rencontre entre le Premier Ministre, l'autorité de régulation du secteur des médias audiovisuels et les Directeurs des médias d'État, vendredi dernier. «J'ai parlé avec les Forces Nouvelles [….] les radios dans ces zones, les télévisions qui ont commencé à fonctionner doivent s'inscrire dans la logique de cette recommandation qui veut que ce soit la télévision nationale qui couvre l'ensemble du territoire. Que les télévisions qui ont vécues de fait dans cette période laissent la place à la télévision nationale ; M. Le Colonel-Major Bamba Sinima, vous donnerez ces instructions à tout le monde et chacun est tenu de s'y conformer. Celui qui ne le fait pas, sera sanctionné » a déclaré entre autres Guillaume Soro.

Les Forces Nouvelles de leur côté, disent attendre les responsables de la RTI, le Ministère de la communication et le CNCA (Conseil National de la Communication Audiovisuelle) pour échanger sur l'application de cette décision. Au sortir d'une réunion, ce mardi, il a été arrêté que les radios et télévisions des Zones CNO -Centre, Nord et Ouest- (Une trentaine de radios et près de six télévisions, dixit le Colonel-Major Bamba Sinima, dans une interview accordée au quotidien Nord-Sud) cessent de faire de l'information, mais continuent les autres programmes.

Le CNCA demeure sur sa position ; '' Les antennes non autorisées doivent fermer ''. Pour Franck Anderson Kouassi, Président du CNCA (cité par Fraternité Matin), l'exécution de cette décision devait être l'un des symboles de la réunification du pays.

Signalons que cette situation intervient pendant que de nombreux responsables de radios privées non commerciales du pays sont réunis à Yamoussoukro, à la faveur d'un atelier sur le rôle des radios de proximité pour des élections apaisées, à l'invitation du Bureau de l'information de l'ONUCI. Aussi, l'URPCI (Union des Radios de Proximité de Côte d'Ivoire) organise, dans quelques jours, son assemblée générale ordinaire.

mardi 5 octobre 2010

Col-maj Bamba Sinima, FN, à propos de la zone Cno : “Les radios et les télévisions vont continuer à émettre”

Par Mord-Sud, le lundi 04 octobre 2010 Suite à la décision du Premier ministre de fermer les télévisions et radios des zones Centre-Nord-Ouest, le Col-maj des Forces nouvelles, Bamba Sinima donne des précisions. Le Premier ministre vous a chargé de mettre en œuvre les décisions relatives à la couverture de l’ensemble du territoire par la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti). Quand est-ce que ces décisions vont-elles entrer en vigueur ? Sur le sujet, la réaction de Karim Ouattara, Secrétaire Général du MCR (Mouvement pour la Conscience Républicaine), une organisation de la société civile ; Extrait de l'émission La Semaine en revue de ONUCI FM, le samedi 02 octobre 2010

lundi 4 octobre 2010

Paris remet à Abidjan ses archives audiovisuelles d`avant l`indépendance

Par AFP, le jeudi 30 septembre 2010 ABIDJAN - La France a remis à son ex-colonie de la Côte d`Ivoire, les archives audiovisuelles et radiophoniques du pays datant de la période qui a précédé l`indépendance dont le cinquantenaire a été célébré le 7 août dernier, a constaté une journaliste de l`AFP. L`ambassadeur de France à Abidjan Jean-Marc Simon et le ministre ivoirien de la Communication Ibrahim Sy Savané ont signé mercredi soir une convention de restitution par l`Institut national d`audiovisuel (Ina) de France de 85 documents radio et d`extraits filmés. "Ces archives couvrent la période antérieure à l`indépendance" de la Côte d`Ivoire et représentent une "période de mémoire partagée" entre ce pays et la France, a déclaré M. Simon, au cours d`une cérémonie. Ces documents seront gardés par l`Etablissement public de conservation des archives, en création, a expliqué M. Savané, soulignant le "rôle important que jouent les archives audiovisuelles pour la restitution de notre histoire". Des extraits de ces archives relatant la tournée du Général De Gaulle en Afrique noire et des interviews de Félix Houphouët-Boigny alors ministre d`Etat français qui devint le premier président de la Côte d`Ivoire indépendante (1960-1993), ont été projetés.

mardi 28 septembre 2010

Viabilité des entreprises de presse - Le FSDP garantit les prêts bancaires

Par Le Patriote, le vendredi 24 septembre 2010


Un autre palier. C’est ce que vient de gravir le Fonds de Soutien au développement de la Presse (FSDP). Les projets d’investissement et exceptionnellement certains projets de fonctionnement des entreprises de presse privées et de communication audiovisuelle pourront être financés par des prêts contractés auprès de la Banque Nationale d’Investissement (BNI). Réunie en sa 16ème session ordinaire, le FSDP, en présence du ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, qui n’a pas manqué d’inviter les entreprises de presse à considérer les fonds de garantie comme un simple appui. Il a exhorté le Conseil de gestion du F.S.D.P à relever entre autres défis, celui de la bonne gouvernance dans la sélection des dossiers tout en veillant à équité dans le traitement des soumissionnaires: « Les entreprises doivent avoir à l’esprit que le Fonds est un simple appui. Il doit leur permettre de se structurer et, si possible, s’en passer à la longue» a indiqué le ministre Sy Savané Quant à Kébé Yacouba, Président du Conseil de gestion du FSDP, il a situé le cadre de cette session ordinaire qui va plancher sur les dons de l’exercice 2010. Aussi a-t-il salué tous les efforts accomplis par les ministres Sy Savané et Charles Koffi Diby pour que « ce fonds qui constitue l’épine dorsale du FSDP soit opérationnel».

Mme Bernise N’Guessan, Directrice du Fonds, pour sa part, a donné, dans les moindres détails, les conditions définies par le décret 2007-677 du 28 décembre 2007 pour l’éligibilité des entreprises de presse à ce fonds de garantie. Il s’agit, entre autres, de la constitution légale de l’entreprise, de son existence effective sur une durée d’au moins deux ans, ou encore du respect de l’éthique et de la déontologie… « Le Fonds de garantie a une dotation d’un milliard et est logé à la BNI. Le montant maximum garanti est 50 millions de FCFA», a-t-elle précisé. Ensuite, elle a souligné que pour bénéficier d’un prêt bancaire, les soumissionnaires doivent fournir un apport initial de 15 à 20% du montant sollicité. « Chaque soumissionnaire doit avoir au préalable un compte à la BNI. Il est mis en place un comité de surveillance des remboursements comprenant le F.S.DP et la BNI », a-t-elle conclu.

Moussa Kéita

dimanche 26 septembre 2010

Sanctionnés par la Direction de la rti - Ce que Awa et David préparent

Par Star Mag, le mercredi 22 septembre 201O

Cela fait quelques mois que Ewa Ehoura et David Mobio sont suspendus d'antenne par les responsables de la Première chaîne de la Télévision Ivoirienne. L'on se souvient qu'il y a huit mois environ, Awa Ehoura, avait subitement été retirée de l'antenne par sa hiérarchie. Selon des sources, à la Maison de la Télé, la présentatrice arrivait très souvent en retard pour la présentation du JT de 20h. '' Elle arrivait après 19h, alors qu'il lui fallait un maximum de temps pour préparer son journal. Après plusieurs mises en garde, les responsables de la Première l'ont suspendue. Mais elle reprendra le boulot très bientôt. Elle attend sa programmation, pour son retour au Journal. Son retour est donc imminent'' révèlent nos sources. David Mobio, lui, a été ''zappé'' de l'antenne après avoir donné une info, qui était selon lui, un ''scoop''. Il avait annoncé à un JT que M. Issa Malick, le directeur national de campagne du candidat Laurent Gbagbo avait échappé à un attentat. Cette info a créé une vive polémique entre lui et Mme Adèle Djédjé la Directrice Générale Adjointe chargée des antennes. Au finish, David Mobio a été suspendu. Trois mois après les faits, David Mobio a repris le service à la télé. Le présentateur avec qui nous avons conversé le lundi 20 septembre 2010, au téléphone, nous donne quelques détails sur son retour.'' J'ai repris le travail depuis le jeudi 17 Septembre dernier. J'attends qu'on me programme. C'est tout ce que je peux vous dire pour le moment, je ne peux rien dire de plus'' nous a-t-il confié. 

Jean-François Koffi

lundi 6 septembre 2010

Second mandat à la présidence de l`Upf / Toute la presse ivoirienne soutient la candidature de Dan Moussa - Le ministre de la Communication a été informé mercredi

Par Le Nouveau Réveil, le vendredi 3 sept. 2010

A leur demande, les institutions et organisations professionnelles des médias de Côte d`Ivoire ont été reçues le mercredi 1er septembre 2010 par le Ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, M. Ibrahim SY SAVANE, à la salle de conférences dudit ministère.
Ce sont:
1-Le Conseil National de la Presse (CNP)
2-Le Conseil National de la Communication Audiovisuelle(CNCA)
3-Le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP)
4-L`Union Nationale des Journalistes de Côte d`Ivoire (UNJCI)
5-L`Observatoire de la Liberté de la Presse, de l`Ethique et de la Déontologie (OLPED)
6-Le Réseau des Instances Africaines d`Autorégulation des Médias (RIAAM)
7-Le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d`Ivoire (GEPCI)
8-Le Syndicat National de la Presse Privée de Côte d`Ivoire (SYNAPPCI)
9-Le Réseau des Professionnels de la Presse en Ligne de Côte d`Ivoire (REPPRELCI)
10-L`Organisation des Journalistes Professionnels de Côte d`Ivoire (OJPCI)
11-La Section Ivoirienne de l`Union Internationale de la Presse Francophone (UPF-CI)
Ces institutions et organisations ont traduit au Ministre de la Communication, par la voix de
Monsieur Eugène DIE KACOU, Président du CNP, leur souhait de voir Monsieur Alfred Dan Moussa, journaliste, directeur du développement des rédactions du groupe Fraternité Matin, briguer un second mandat à la présidence internationale de l`Union internationale de la presse francophone (UPF), à l`occasion du prochain renouvellement des instances de l`UPF.
Le Président du CNP a expliqué que leur décision a été prise à la suite d`une séance de travail que les professionnels de l`information ont eue, également à leur demande, avec le Président international de l`UPF et au cours de laquelle il a fait, à leur satisfaction, le point de son mandat. C`était le mardi 24 août 2010.
Après avoir salué l`esprit de cohésion et de solidarité des institutions et organisations professionnelles en faveur du journaliste Alfred Dan Moussa, le Ministre de la Communication a pris acte de leur volonté de soutenir celui-ci, en vue d`un dernier mandat à la tête de l`UPF.
M. Ibrahim SY SAVANE, en sa qualité de Ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, a pris l`engagement d`en informer le Président de la République, le Premier ministre et l`ensemble du gouvernement.

Fait à Abidjan, le 1er septembre 2010

Le président du CNP
Eugène DIE KACOU
NB: Les titres sont de la rédaction

Ramadan : Un artiste offre du sucre à Nord-Sud Quotidien

Par Nord Sud, le vendredi 27 août 2010

Abdel Kader Montiny. C’est ainsi que se nomme l’artiste qui a bien voulu penser aux musulmans de Nord-Sud Quotidien en ce mois de pénitence qu’est le ramadan. A travers son manager, Eric Bédy, ex-manager de Billy Billy et directeur de Ronito production, il a offert du sucre et du lait aux musulmans de l’entreprise de presse. Un geste qui a été salué par la direction générale, à travers sa plus haute représentation, le directeur de publication Kébé Yacouba. « Ce geste prouve qu’il y a des artistes qui pensent à la presse. Des créateurs qui ne viennent pas toujours vers nous que lorsqu’ils ont besoin de nos services », a expliqué le Dp. Très ému, le secrétaire général de la rédaction, Choilio Diomandé, a exprimé son admiration à l’acte qui a été posé. « De ma mémoire de journaliste, je n’ai jamais été témoin d’un tel geste de la part d’un artiste. Ce genre d’action est rare dans le milieu de la culture », a-t-il confessé. Selon Eric Bédy, plus connu dans le milieu du showbiz sous le sobriquet d’Eric cost to cost, les journalistes et les artistes sont comme la langue et les dents. Ils se titillent parfois, mais sont liés à jamais. Notons qu’Abdel Kader Montiny est un ex-membre du collectif Gbonhi yo yo yo.

Sanou Amadou (stagiaire)

Presse en ligne : 23 correspondants amateurs formés

Par Fraternité Matin, le lundi 23 août 2010


Après deux jours de formation, organisée en partenariat avec l’Institut des sciences et techniques de la communication (Istc) et l’Institut universitaire d’Abidjan (Iua), l’Ong Avenue Afrique a récompensé, vendredi dernier, au Golf hôtel les correspondants régionaux venus de différentes contrées du pays. Ce sont 23 journalistes Web amateurs qui animeront avenue225, premier site ivoirien de proximité, initié par l’Ong depuis 2009. Ceux-ci auront à charge de donner les informations sur les différents événements de leurs localités respectives. A cette occasion, le président de Avenue Afrique, Israel Yoroba, a tenu à préciser quelques objectifs de son organisme: «Avenue Afrique n’a pas seulement l’information pour objectif, mais aussi la formation. Nous voulons promouvoir le visage de ces pays non folkloriques et renforcer les liens avec la diaspora et les autres pays. Nous voulons constituer un réseau d’avenue de l’Afrique francophone. » Cette cérémonie était placée sous la présidence d’Alfred Dan Moussa, président de l’Union internationale de la presse francophone (Uipf). Qui a félicité et encouragé les différents lauréats, avant d’attirer leur attention sur la nouvelle mission à eux assignée : «Je vous encourage dans l’exercice de vos fonctions. Vous voici en mission dans une atmosphère de tension. Vous n’avez plus droit à l’erreur. Fournissez- nous les informations de vos différentes localités. Soyez prudents et honnêtes, car l’excellence peut conduire chacun de vous au sommet de son art. ». Le président de la cérémonie a, au terme de son allocution, mis l’accent sur les avantages de la presse en ligne, en rappelant les difficultés d’autrefois, liées à la divulgation de l’information que rencontrait le journaliste local. Difficultés qui n’existent plus aujourd’hui grâce aux technologies de l’information et de la communication.

Sylvestre Aféry

lundi 16 août 2010

Djuablin Fm : c'est le nouveau départ

La radio d'Agnibilékrou '' Djuablin Fm " a lancé, il y a quelques mois, sa nouvelle grille des programmes. D'après Hyacinthe Touboui, le Directeur des programmes, la nouvelle programmation répond à deux (2) besoins majeurs. D'une part, " passer à une vitesse supérieure ", vu que les animateurs de cette radio, recrutés pour la plupart sur place - sans contact initial avec le micro ni connaissance de la radio -, connaissent désormais ( après plus de 2 ans de pratique ) quelques rouages de la radio. D'autre part, explique toujours le responsable des programmes : '' La population a demandé le journal de Radio Côte d'ivoire ( La chaîne nationale ) ; nous avons accédé à cette requête ". Hyacinthe Touboui précise également qu'en plus des émissions musicales, il y a maintenant un journal local et un magazine de reportages sur diverses thématiques ; il est dénommé '' Clin d'oeil ". Les programmes de Djuablin Fm ont démarré en 2007 ; ils sont écoutés sur les 104.6 Fm.

jeudi 12 août 2010

Les programmes des radios de la RTI de plus en plus méconnus

Les émissions de Fréquence 2 et de Radio Côte d’Ivoire, les deux stations radio de la RTI ( Radiodiffusion Télévision Ivoirienne ) sont assez méconnues des auditeurs, du reste les intitulés, les jours de diffusion et les noms des animateurs ou présentateurs. La preuve : il n’y a eu aucun gagnant, sur la dizaine de particicpants, au jeu de la matinale de ce jeudi 12 août ( sur l’ensemble du réseau – les deux chaînes symchronisent les matins jusqu’à 8h - ). Le jeu en question était consacré aujourd’hui aux programmes de la ‘‘ FM leader ’’ et de la chaîne nationale de Radio Côte d’Ivoire. Les questions avaient trait, entre autres, aux magazines, rubriques de certaines productions, animateurs et bien d’autres.

Depuis l’avènement d’autres types de radios dans le paysage radiophonique du pays ( les radios privées non commerciales – anciennement connues sous le vocable de radios de proximité - , les radios confessionnelles, les chaînes commerciales et Oncuci Fm, porte-voix de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire ), les deux radios publiques ont perdu le monopole de l’écoute. Le manque d’entretien des installations techniques, dans certaines régions et les nombreux cas de pillages ou de destructions dans celles sous contrôle de la rébellion sont venus empirer les difficultés d'émission et de réception. L’envol de nombre de jeunes animateurs talentueux pour d’autres cieux qualifiés de plus ‘‘ réluisants ’’ et le départ à la retraite des ‘‘ dynosaures ’’ du micro sont également pour quelque chose, car ces derniers attiraient, de par la grande qualité de leurs productions, de nombreux auditeurs et admirateurs.

jeudi 5 août 2010

Commission paritaire - Un bilan positif … sans grand moyen

Par L'intelligent d'Abidjan, le mercredi 4 août 2010


La CIPJ (Commission paritaire d’attribution de la carte d’identité de journaliste professionnel et de Professionnel de la communication) a animé, le mardi 03 août 2010, une conférence de presse à son siège au 17ème étage de la Tour C au Plateau. Au menu des débats : bilan de fin de mandat d’exercice.

Selon la présidente de la CIJP, Laurence Sautier, ladite commission a réalisé des exploits en dépit des maigres moyens qui lui sont alloués. « Notre budget est ridicule eu égard aux missions qui nous ont été assignée. C’est certainement la raison pour laquelle certaines structures ont vite fait de nous mettre sous tutelle. Nous espérons que le prochain bureau aura sa totale indépendance. Pour l’exercice 2010, sur 40 millions attendus comme budget de fonctionnement seulement 14 millions de francs CFA ont été octroyés par le ministère de la Communication », a-t-elle déploré. Avant de se féliciter des acquis obtenus par les commissaires, à savoir : la reconnaissance de la carte par des institutions nationales et internationales comme l’ambassade de France et toutes celles de l’Union Européenne avec des conditions d’obtention du visa, la matérialisation de critères d’admission au Cnp et au Cnca, et la réduction allant jusqu’à 20% dans les grandes surfaces de la place. La commission paritaire a aussi relevé le manque d’engouement constaté du côté des professionnels des média évoluant dans les secteurs de l’Audiovisuel et des radios de proximité. Par ailleurs, elle a reconnu que son talon d’Achille restait le manque de communication, d’où son impossibilité à accomplir les missions d’information et de sensibilisation. S’agissant de la problématique des titulaires des Bts (Brevet de technicien supérieur), la commission a indiqué qu’elle était face à un véritable dilemme. Devrait-elle au nom de toute la corporation boycotter l’application de la convention collective ? Que nenni ! Dans la mesure où en ce temps-là ne ce serait-ce que 14 demandeurs étaient frappés par ladite convention. « La qualité de ce travail dépend également de l’aménagement du cadre juridique qui devra accorder l’autonomie juridique et financière à la commission paritaire », a conclu la présidente du CIJP, Laurence Sautier
KDM

mercredi 4 août 2010

DJUABLIN FM A LANCE SA NOUVELLE GRILLE DES PROGRAMMES



MARQUEE - Exemple simple



Djuablin Fm 104.6 a lancé sa nouvelle grille des programmes


Côte d`Ivoire : Prison ferme pour un journaliste reconnu coupable de diffamation et d`extorsion de fonds

Reporters sans Frontières, le mercredi 4 août 2010 (www.abidjan.net)


Reporters sans frontières condamne le verdict prononcé le 26 juillet 2010 par le tribunal correctionnel d'Abidjan à l'encontre de Traoré Médandjé, journaliste au quotidien L'intelligent d'Abidjan. Celui-ci était poursuivi pour diffamation et extorsion de fonds suite à la publication d'une enquête intitulée "Les cliniques boutiques illégales de Vavoua".

Dans cette enquête, Traoré Médjandé, dénonçait la multiplication des officines privées de santé illégales dans la région de Vavoua et l'implication du directeur départemental de la santé, le docteur André Tia, qui se serait enrichi en organisant des formations médicales privées sans autorisation de son ministère de tutelle.

L'article, paru le 4 septembre 2009, a entraîné une réaction du ministère de la Santé ivoirien qui a confirmé les propos du journaliste. Le docteur Tia a été limogé puis radié de la fonction publique pour "activités contraires à l'éthique de sa profession".

Quelques mois plus tard, celui-ci a porté plainte contre Traoré Medjandé pour diffamation et extorsion de fonds.

Le 26 juillet dernier, le tribunal correctionel a suivi les réquisitions du procureur et a condamné le journaliste à douze mois de prison ferme et au paiement d'une amende de 5 millions de francs CFA (soit environ 7620 euros).

Sur l'infraction de diffamation, le ministère public reproche au journaliste d'avoir publié une interview de Daha Didier, secrétaire général du Syndicat des préparateurs et gestionnaires en pharmacie, et dont certains propos porteraient atteinte à l'honorabilité du docteur Tia.

Sur l'infraction d'extorsion de fonds, le parquet estime que le journaliste s'est entretenu trois fois avec le docteur Tia dans des lieux différents, ce qui s'apparente à une manoeuvre de chantage.

" Cette condamnation est complètement absurde. Pourquoi le journaliste doit-il payer si cher pour un article dont les faits dénoncés sont officiellement reconnus par les autorités du pays? L'infraction d'extorsion de fonds est un véritable prétexte permettant de condamner le journaliste à une peine de prison ferme. Le fait de rencontrer quelqu'un plus d'une fois ne permet pas de prouver l'intention d'extorquer. L'objectif du journaliste était simplement d'attirer l'attention des autorités sur un problème de santé publique, pourtant bien connu en Côte d'Ivoire", s'est étonnée Reporters sans frontières.

"Les règles de base du procès pénal ivoirien n'ont pas été respectées. Le journaliste s'est retrouvé seul à comparaître devant le tribunal correctionnel. Curieusement, l'auteur des propos jugés diffamatoires n'a pas été recherché par la police ni entendu par la justice. Tout porte à croire que ce procès à été instruit à charge contre Traoré Médjandé", a déclaré Reporters sans frontières.

Le journaliste est sorti libre de la salle d'audience, sans qu'aucun mandat d'amener ne soit délivré à son encontre. Son avocat a fait appel. La date de l'audience sera fixée en octobre à la rentrée des vacances judiciaires.

jeudi 15 juillet 2010

Trois journalistes arrêtés pour vol de documents administratifs

Reporters sans Frontières, le mercredi 14 juillet 2010

Reporters sans frontières s`inquiète de l’arrestation, mardi 13 juillet, de trois journalistes du Nouveau Courrier d’Abidjan et des méthodes expéditives du procureur de la République, Raymond Tchimou.

Sur ordre de Raymond Tchimou Fehou, procureur de la République du tribunal de première instance, trois journalistes du Nouveau Courrier d’Abidjan, Saint Claver Oula, rédacteur en chef, Stéphane Guédé, directeur de publication et Théophile Kouamouo, directeur de rédaction, ont été interpellés par la police criminelle. Le procureur leur reproche d`avoir publié les conclusions de son enquête sur les détournements dans la filière café-cacao. Le document, classé secret d’Etat, avait été remis quelques semaines plus tôt au président Laurent Gbagbo.

Mardi 13 juillet, le procureur a convoqué le directeur de rédaction Théophile Kouamouo à ses bureaux pour le contraindre à révéler ses sources. Ce denier a refusé. Le procureur a alors ordonné son interpellation par la police criminelle qui l’a placé en garde à vue après l’avoir entendu. Les locaux du journal ont ensuite été perquisitionnés. Les journalistes de la rédaction ont été mis en joue par le commissaire de la police criminelle, Maxime Gogoua, et ses hommes. Un ordinateur a été emporté. Plus tard dans la journée, le directeur de publication et le rédacteur en chef ont rejoint Théophile Kouamouo à la police criminelle afin d’être entendus et placés en garde à vue. Tous les trois ont passé la nuit dans les cellules de la police criminelle.

Ils seront présentés devant un juge pour "vols de documents administratifs".

Ce sont des méthodes que Reporters sans frontières n’avaient pas observées en Côte d’Ivoire depuis de nombreuses années. L’accusation de vol ne tient pas la route. Il est important de garder à l’esprit que la protection des sources est un principe fondamental de la pratique du journalisme, principe qui a tout son sens dans une affaire aussi sensible que celle de la filière café-cacao. Reporters sans frontières ne peut que déplorer une grave menace à la liberté de la presse et appelle à la libération immédiate des trois journalistes.

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samedi 26 juin 2010

Concours national de journalistes en herbe : Voici les noms des lauréats

Par Le Mandat, le 21 juin 2010

La Maison de la Presse a rendu publics les noms des lauréats de la 1ère édition du concours
national de journalistes en herbe, depuis le vendredi 18 juin dernier, au cours d’une
cérémonie organisée pour la circonstance, à Agitel Formation.

Le rideau est tombé sur la 1ère édition du concours national de journalistes en herbe. L’amphithéâtre d’Agitel formation a servi de cadre pour le jury de ce concours pour proclamer les résultats. Au total, sur 27 candidats finalistes (12 de la catégorie senior et 15de la catégorie junior), six (trois de chaque catégorie) ont été retenus comme les plus méritants. Ainsi, pour le prix Nazaire Breka, catégorie junior, les lauréats sont : Yao Kouassi Bérenger, élève en 1ère D au collège Saint Emmanuel de Yopougon, avec 15,60/20 pour son article sur les «Lycées et collèges assiégés par les bars et maquis ». Il est suivi de Vanié Lou Blandine (14, 77/20 points), en Tle D, au lycée Simone Ehivet Gbagbo de Niangon, pour son dossier sur «L’école ivoirienne». Puis vient en 3e position, avec 14/20, Yéboua Félicité, en Tle A, au lycée moderne d’Abengourou, qui a traité du «Recrutement parallèle».

Quant à ceux du prix Pierre Ignace Tressia, catégorie seniors, ils ont pour noms, par ordre de mérite : Diedri Manféi Anderson (15,33 pts) avec son article intitulé “Echec en milieu scolaire”. Il est en 1ère année de géographie à l’université de Cocody; Kouamé Ange Martial (14,50/20), avec «Les difficultés à l’Université de Bouaké, 4 000 étudiants dans la rue». Et Kouamé Kouadio (13,91/20) points, avec «Vih sida». Ils sont respectivement en Deug et licence à l’Université de Bouaké. M. Amoikon, responsable communication et événementiel de Côte d’Ivoire Telecom, sponsor de ce concours, a remis un ordinateur portable à chaque lauréat de chaque catégorie et de nombreux autres lots. Bien avant cela, il s’est adressé aux journalistes en ces termes : « Ne faites pas de ce métier, celui que vous embrassez parce que vous avez échoué quelque part, mais un métier que vous auriez choisi par amour ». Rappelons que la Maison de la Presse avec à sa tête sa directrice, Rasmina Guéi, a initié ce concours pour favoriser l’éclosion des talents dans le domaine journalistique en milieu universitaires et scolaires en Côte d’Ivoire. Il récompense les meilleurs articles ou productions des participants intégrés ou non dans des clubs de littérature, de journalisme ou de communication, au sein des écoles, Grandes écoles et Universités de Côte d’Ivoire.

Adèle Kouadio

mercredi 9 juin 2010

Lauréat du prix CNN - Le GEPCI félicite Alexandre Lebel Ilboudo

Par Le Patriote, le mercredi 09 juin 2010

Il continue de recevoir, les félicitations et autres encouragements des autorités administratives et des organisations professionnelles de la presse. Alexandre Lebel Ilboudo lauréat de la 15ème édition du prix CNN du meilleur journaliste d’Afrique Francophone a reçu hier dans les locaux de votre quotidien préféré les félicitations du Groupement des Editeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI). Les patrons de presse à leur tête Denis Kah Zion sont venus traduire leur encouragement à celui que le président du GEPCI présente comme le héros international de presse ivoirienne « nous sommes venus féliciter notre héros, ce prix est un prix pour toute la Côte d’Ivoire. C’est un honneur pour nous Editeur de presse que nos titres soient jugés par un jury international et glanent, un trophée pour la Côte d’Ivoire. Ce prix n’est pas un prix pour le Patriote, ni un prix pour Alexandre Lebel, mais plutôt, un prix pour toute la Côte d’Ivoire » a dit tout heureux le président du GEPCI. Puis de poursuivre « ….j’avoue que ça m’a fait chaud au cœur. Nous connaissons l’importance du prix, c’est vous dire que ce garçon mérite d’être décoré comme tous ceux qui apportent de grands prix à la Côte d’Ivoire », a insisté le président Denis Kah Zion. Tous heureux de voir les efforts et les mérites de la presse ivoirienne reconnus au niveau international, le premier des patrons de presse de Côte d’Ivoire a rassuré les responsable du quotidien le Patriote « ce prix et le héros de la presse ivoirienne » « Alexandre, je voudrais au nom du Gepci te dire que tu as tous nos encouragements ». Pour sa part, très ravi de l’action du président du GEPCI, le premier responsable du Patriote a salué toutes les actions positives et le noble combat que Denis Kah Zion mène pour sortir les entreprises de presse de la précarité « président, ta présence dans nos locaux me donne l’occasion de te féliciter pour tout le travail que tu abats pour les entreprises de presse, le fonds d’aide, les abattements fiscaux, sont entre autres actions qui méritent d’être saluées », a dit le Directeur de Publication, Coulibaly Soukalo.
Notons que le président du GEPCI avait à ses côtés, le secrétaire exécutif du GEPCI, Nguilissi Moutasse.

MK

Libéralisation de l`espace audiovisuel, formation et sécurité des journalistes : Alassane Ouattara rassure l`Unjci

Par Le Nouveau Réveil, le mercredi 09 juin 2010

Après le président Henri Konan Bédié récemment, le bureau exécutif de l'Unjci a rencontré hier aux II Plateaux, le président du Rdr, le docteur Alassane Dramane Ouattara. Pendant près d'une heure, les deux (02) parties ont échangé sur les préoccupations des journalistes ivoiriens. Notamment, celles concernant la libéralisation de l'espace audiovisuel, la formation et la sécurité des entreprises de presse et des journalistes. Sur ces sujets, la réponse du premier responsable du Rdr, selon le président de l'Unjci Mam Camara, a été des plus réconfortantes. Au niveau de la libéralisation de l'espace audiovisuel, le président de l'Unjci, à la sortie de cette audience, a indiqué ceci. "Le président du Rdr a insisté sur le problème de la libéralisation de la presse au niveau de la radio et de la télévision parce qu'il estime qu'il est temps et il ne trouve pas qu'il y ait des obstacles à ce niveau". Concernant les autres questions, Mam Camara a encore ajouté. "Nous avons besoin d'un cadre formel à la formation, l'Unjci a commencé à former les journalistes mais nous avons besoin d'appui des partis politiques. Nous avons privilégié le problème d'éducation au niveau des militants des partis politiques pour apprendre à respecter les écrits des journalistes pour ne plus qu'on casse les rédactions et blesser les journalistes…Le premier ministre Alassane Ouattara était tout à fait d'accord avec nous. Il a partagé notre vision de nouveauté, de changement au niveau de la presse". Après le Rdr, l'Unjci va également consulter les autres partis politiques.

DJE KM
cathycelio@yahoo.fr

Ex-animateur vedette à Radio Côte d’Ivoire / Emile Konan Fréjus crache du feu - ‘’L’oppression, la débauche, la duplicité et la corruption sont les ta

Par l'Intelligent d'Abidjan, le lundi 07 juin 2010


Journaliste à Radio Côte d’Ivoire depuis plus de trente ans, Emile Konan Fréjus fait partie des animateurs vedettes qui ont rehaussé l’image de marque de la Radio Nationale. Après une formation en journalisme en France en 1982, il animera l’émission matinale « Le Réveil » qui le rend célèbre au-delà des frontières ivoiriennes. Malheureusement avec l’avènement de la Refondation en 2000, « EKF » subit de fortes pressions de la part des nouveaux hommes forts de la radio, avant d’être retiré des antennes du matin. Il se contente désormais de la production de quelques magazines. A quelques années de sa retraite, nous avons rencontré EKF dans sa paisible résidence sise à Cocody-Angré. Dans cette interview exclusive, ‘’l’enfant’’ de Allé-Pkangbassou dans le département de Sakassou, jette un regard rétrospectif sur cet instrument de communication d’Etat qui a fait les beaux jours de la Côte d’Ivoire.
Comment êtes-vous arrivé au métier de journalisme ?
C’est une belle et vielle histoire. Parce que très jeune déjà, en classe de sixième par là, je m’évertuais à écouter les journalistes sportifs de l’époque et à les imiter. C’est de là qu’est née ce que je peux appeler aujourd’hui une vocation. Après la classe de troisième, je suis allé au lycée de Grand Bassam. Là-bas, j’étais le reporter des grands matchs de football de l’Oissu. C’est donc ce qui m’a inspiré et m’a donné l’amour de ce métier. Et en 1974, il y a eu une opportunité qui s’est offerte à moi et je suis entré au studio école de la Rti. Je suis de la promotion de Soro Solo, de Fulgence Kassy, de l’actuel DG de la Rti, Brou Amessan, qui était mon voisin, de feu Jean Baptiste Kacou Bi. Au départ, je voulais être journaliste sportif. Mais Suite de l'article

Après avoir remporté la Prix Cnn : Sy Savané offre un ordinateur à Alexandre Lebel

Par L'expression, le samedi 05 juin 2010

Revenu de Kampala avec le Prix Cnn du meilleur journaliste francophone, Alexandre Lebel du confrère « Le Patriote a été reçu hier par le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané.

Accompagné de plusieurs membres de sa rédaction, dont le directeur de publication, Charles Sanga, le lauréat a reçu les félicitations du ministre de tutelle. « Je vous encourage à continuer sur cette voie et à vous intéresser davantage aux questions sociales », a conseillé le premier responsable de la communication en Côte d’Ivoire. Le lauréat, sous le coup de l’émotion, a dit en retour ses remerciements au ministre qui lui a offert un ordinateur portable. Cap a ensuite été mis sur la rédaction du Patriote en zone 4 où le ministre Hamed Bakayoko a tenu à complimenter « personnellement » le lauréat. « Bravo ! Vous faites honneur à tous vos collègues. Il y a longtemps que nous attendions ce genre de distinction. Nous devons savourer ces moments de bonheur », a déclaré le collaborateur d’ADO, qui a traduit les félicitations de son patron au journaliste.

M’Bah A.

mardi 1 juin 2010

Radio Ecole Communautaire : L’URPCI et l’IPAO présentent les formateurs




Photo : URPCI


L’hôtel Pullman d’Abidjan a abrité, le jeudi 20 mai 2010, la cérémonie de présentation officielle des premiers formateurs de la Radio Ecole Communautaire (REC) de Côte d’Ivoire. Ce fut autour d’un Petit-déjeuner de presse qui a vu la participation de l’Union Européenne (Bailleur de Fonds), du Ministère de la communication et du CNCA, le Conseil National de la Communication Audiovisuelle.

La formation et le rôle des premiers formateurs
Au nombre de dix (10), ils viennent des radios d’Abidjan et de l’intérieur du pays. Deux années durant, ces animateurs (pour certains) et/ou gestionnaires (pour d’autres) de radios privées non commerciales ont été formés par deux formateurs de la REC de Radio Oxy-jeunes de Dakar, Daouda Gueye et Ababacar Sadikh Ly. Les modules enseignés sont : la planification et le développement d’une formation, les techniques et procédés d’ancrage communautaire, l’élaboration et la gestion des projets et la production radiophonique ( les genres radiophoniques et le maniement des équipements techniques ).
Selon Ababacar Sadikh Ly, les nouveaux formateurs de la REC ivoirienne auront à charge de démultiplier les acquis de ladite formation pour qu’il y ait un impact au niveau de chaque radio de proximité de Côte d’Ivoire.
Cette formation est l’une des composantes du projet triennal ‘‘Appui au secteur de la radiodiffusion communautaire en Afrique de l’Ouest : cadre législatif et renforcements des capacités ’’ ; il est financé par l’Union Européenne, avec l’appui technique de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO). L’objectif général du projet, d’après l’IPAO, ‘‘ est de renforcer le pluralisme radiophonique pour une démocratisation de l’information dans les pays en transition en Afrique de l’Ouest ’’ et les objectifs spécifiques : ‘‘ rendre les cadres législatifs nationaux de l’information et de la communication favorables aux radios communautaires, renforcer les capacités des nouveaux radiodiffuseurs communautaires à donner la voix aux marginalisés par des solutions novatrices et durables et renforcer les capacités d’ancrage communautaire des radiodiffuseurs ’’. Cette initiative arrive à temps, car il n’existe en Côte d’Ivoire (pour l’heure), aucune école de formation adaptée aux besoins et attentes spécifiques des radios communautaires.

Un studio pour accompagner le projet

D’une valeur de 8 millions de Francs CFA (près de 13 000 euros), ce studio est équipé en matériels d’enregistrement et de montage audio-numérique (Une table de mixage 16 pistes, des casques, une mini-chaîne, des micros, des dictaphones, etc …). Il a été visité le même jour. Cadre de formation et de renforcement de capacités des agents de la centaine de radios que compte l’URPCI (Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire), en production radiophonique et montage audio, le studio de la REC qui est installé dans les locaux abritant le siège de l’URPCI va également servir à la production d’émissions, de spots promotionnels, de micro-programmes de l’union, ainsi que des partenaires au développement, à destination des radios de la capitale ivoirienne et surtout celles des autres régions de la Côte d’Ivoire ; une nouvelle bien accueillie par le Secrétaire Général du Conseil National de la Communication Audiovisuelle lors de la cérémonie de remise des diplômes de participation aux bénéficiaires de la formation, le mardi 23 mars dernier. M. Félix Nanihio n’a pas manqué de rappeler l’Article 8 du Décret n°95-714 du 13 septembre 1995 fixant les règles de fonctionnement des radios de proximité. « Si vous avez vos cahiers des charges et que vous savez que les cahiers des charges In Extenso contiennent des dispositions sur la production locale, la production propre et donc ce studio qui vient d’être mis à votre disposition est un évènement qui va vous permettre de respecter un temps soi peu les cahiers des charges, donc je ne peux que me réjouir. Vous avez un niveau de productions propres à faire […] ce qui intéresse les populations, c’est les programmes que vous faites, qui intègrent leurs aspirations, leurs besoins ; si vous êtes loin de ces populations, ce n’est pas sûr que vous puissiez mobiliser des financements nécessaires à votre propre développement » avait-il déclaré.


Sur le même sujet :
http://forum-medias.blogspot.com/2010/03/radios-ecoles-communautaires-oxy-jeunes.html
et aussi http://forum-medias.blogspot.com/2010/05/rec-cote-divoire-la-formation-des.html

Lauréat du Prix CNN : Alexandre Lebel Ilboudo, accueilli triomphalement


Par Le Patriote, mardi 1er juin 2010


Ils étaient tous là. Amis, épouse, collègues et responsables de service pour accueillir, hier, le lauréat de l’édition 2010 du Prix CNN du meilleur journaliste francophone à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët. Il est 15 h 00. L’on annonce l’arrivée du vol EA704 d’Ethiopian Airline. Après les contrôles d’usage, l’on voit sortir la silhouette féline et filiforme, du journaliste Alexandre Ilboudo, qui arbore une casquette noire estampillée « CNN ». Au bout du bras, le trophée continental. Sourire au coin, notre collaborateur ne cache pas sa joie de retrouver les siens. S’en suivent les accolades des collègues et amis mais surtout la poignée de main chaude du premier responsable du quotidien Le Patriote, M. Charles Sanga. «Félicitations, c’est une fierté pour nous », lance d’entrée le Directeur de publication de votre quotidien préféré. L’heureux lauréat fait quelques foulées pour se fondre dans les mains de son épouse et de ses trois enfants. «Bravo papa, bravo chéri », clament ces derniers. L’émotion atteint son paroxysme quand le Rédacteur en chef, Koré Emmanuel en rajoute : «Félicitations mon grand, bravo cher collègue ». Durant une quinzaine de minutes, l’élan de solidarité et de ferveur des collègues, amis et responsables de service enveloppe le visage du meilleur journaliste francophone de l’année. «Quand on a le mérite qui est reconnu au niveau international, on manque de mots pour exprimer ce qu’on ressent. Moi, je voudrais dire que je dois ce prix à tout le personnel du Patriote, mais également au fondateur du journal, le ministre Hamed Bakayoko », indique tout heureux Alexandre Lebel Ilboudo. Après un moment d’échanges dans le hall, le lauréat prend place, aux côtés de ses responsables, à bord d’un véhicule. Direction : la rédaction du Patriote, située à Marcory-Biétry, rue du Canal. Là, tout le personnel, informé déjà qu’Alexandre Lebel a atterri quelques instants plus tôt à Abidjan, piaffe d’impatience de le revoir. Quand le cortège s’immobilise devant le portail d’entrée du bâtiment, l’heureux élu est surpris de constater qu’une haie d’honneur a été dressée spécialement pour lui. «Tu es une fierté pour la Côte d’Ivoire et pour Le Patriote », lance un de ses collègues, visiblement ému. A la grande salle de conférence de rédaction, Alexandre Ilboudo remet le prix au DP qui le présenté dans une ambiance de joie à tous ses collaborateurs. Touché par cette marque de sympathie et cet accueil chaleureux, Alexandre Lebel témoigne sa gratitude à ses collègues. « C’est vrai, ça n’a pas été facile », concède t-il, avant d’ajouter que ce prix est celui d’une équipe. De son côté, M. Charles Sanga a promis présenté le prix au ministre Hamed Bakayoko et au Président du RDR, Alassane Dramane Ouattara.

Moussa Keita

PHOTO : Le Patriote

La presse en deuil : Fin de parcours pour Paul Alfred Kadio

Par Frat Mat, mardi 1er juin 2010

On ne reverra plus la forte corpulence de Paul Alfred Kadio. De son vrai nom Kouamé Kadio Paul Alfred, il fait partie de ceux qu’on pourrait appeler «les anciens». La mort l’a arraché le jeudi 27 mai dernier, à l’affection des siens.

Journaliste, rédacteur en chef, ancien directeur de Radio Côte d’Ivoire, il fut, entre autres, président de l’Union des journalistes de la presse de langue française, Ujplf-Afrique (aujourd’hui Upf, avec à sa tête un autre Ivoirien, Alfred Dan Moussa), et président de plusieurs associations. Souffrant depuis cinq bonnes années d’un mal qui a eu raison de lui, il fut également directeur des études et du développement de la Radio diffusion télévision ivoirienne (Rti) et conseiller du directeur général, Brou Amessan. C’est d’ailleurs à ce dernier poste que l’homme a fait valoir ses droits à la retraite, il y a 6 mois.

C’est une figure mythique de la Rti, et du monde de la presse d’ici qui s’en va. Après, entre autres, les regrettés Noël Ebony, Jean-Pierre Ayé, Diégou Bailly, Serges Pacôme Aoulou, Joseph Diomandé, Kanté Boubakar…

Le 27 mai, s’est donc éteinte une voix. Celle qui aura défendu une liberté de la presse dans un contexte spécial, celui du parti unique, et donné au métier ses lettres de noblesse.

Il n’aura pas pu bénéficier du repos du travailleur, après des années consacrées à ce métier de «fou» appelé journalisme. Six mois après, la mort qui «mange» la vie l’attendait. Le rendez-vous dernier. Au moment où s’ouvrent les assises de l’Union de la presse francophone au Maroc.

Lui et bien d’autres ont travaillé, sans relâche, à la faire connaître et vivre.

En attentant le programme des obsèques, la rédaction de Fraternité Matin présente ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt, ainsi qu’à la grande famille de la Rti.

M. C. O.

lundi 24 mai 2010

REC CÔTE D’IVOIRE : la formation des formateurs s’est achevée

Débutée le lundi 17 mai 2010 au siège de l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire, URPCI, la dernière session de formation des 10 formateurs de la première Radio Ecole Communautaire (REC) de Côte d’Ivoire a pris fin samedi dernier. Elle met fin à deux années de formation sur quatre modules (conception, développement et livraison d’un modèle de formation, ancrage communautaire basée sur la MARP, élaboration d’un projet et recherche de financements, production radiophonique) ; une formation dispensée par deux (2) formateurs venus de Radio Oxyjeunes à Pékine. Pour rappel, c’est dans cette radio de la banlieue de Dakar (Sénégal) qu’est née la première REC.

Cette dernière étape de la formation a porté, selon Daouda Gueye (coordonnateur général de Radio Oxyjeunes et formateur), sur les genres radiophoniques, l’écriture radiophonique et le maniement des équipements techniques, pour ensuite aboutir sur la production pratique, permettant ainsi à certains bénéficiaires – qui n’ont jamais fait de montage – d’acquérir des notions de base en montage audio-numérique. Pour lui, les apprenants pourront renforcer leur habileté en montage, dans le cadre du réinvestissement de cette formation. Il est à noter que ce bel exemple de coopération sud-sud, entre radios communautaires, est mis en œuvre par l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO), avec le soutien financier de l’Union Européenne.

Halimatou AMADOU, Assistante du Programme ‘‘Pluralisme de l’Information’’ à l’IPAO affirme que : « ce que l’IPAO espère pour ce projet, c’est que l’URPCI le mène à bien, c’est-à-dire que l’information soit répercutée au niveau national, dans d’autres radios, et qu’un maximum de radios communautaires puisse bénéficier de la formation dont ont bénéficié les dix (10) premiers formateurs de Côte d’Ivoire »

vendredi 21 mai 2010

Le dernier match de Denis Kouadio




Confrères, amis et connaissances sont venus rendre un dernier hommage à Denis Kouadio ; c’était le samedi 15 mai dernier, au complexe sportif d’Abobo et ce, à l’initiative de l’ARESCA (Amicale des Reporters Sportifs de la Commune d’Abobo) dont il était l’un des membres fondateur. Dans son allocution, le Président de l’ARESCA (Martial Galé) a dit qu’« il était impératif de lui rendre cet hommage parce que cela entre dans notre champ de vision, c’est-à-dire être solidaire les uns des autres […] Denis Kouadio était un grand-frère ; c’était un aîné. On espère que Dieu va le garder à sa droite, dans son royaume et que ce qu’on fait aujourd’hui puisse le réjouir là où il se trouve »

Au programme de ce Gala dédié à Denis Kouadio, deux rencontres de football (comme il aimait bien les commenter). La première a opposé les centres de formation UEF ABOBO à UCF YOPOUGON (1-2). La seconde a mis aux prises l’équipe des journalistes sportifs et celle des entraîneurs d’Abobo (1-1)

Cette cérémonie a vu la participation de l’ancien international ivoirien Koné Ibrahim (Président du Centre de Formation Koné et Président du District d’Abobo), de Hamza Gamal (Président de l’union des écoles de football d’Abobo, UEFA), de nombreux journalistes parmi lesquels Kanga Rovia (Président de l’Union Nationale de la Presse Sportive de Côte d’Ivoire, UNESPCI), Gustave De Bouaffo (Vice-président de l’ARESCA) et Jean-claude Djakus, chargé de communication de la Fédération Ivoirienne de Football, (FIF), d’ami(e)s et de sympathisants du défunt.

Denis Kouadio est décédé le 03 avril dernier, des suites d’une longue maladie. Avant de ranger sa plume à jamais et dire à Dieu aux nombreux auditeurs, il officiait à www.fanionsport.com et sur Radio Elit’fm (1O4.00 Mhz). Durant sa carrière, Denis Kouadio a aussi travaillé à Radio Arc-en-ciel Abobo et Radio Bonne Santé. Comme grands évènements sportifs, il a couvert entre autres la CAN 2006 au Ghana et le CHAN, Championnat d’Afrique des Nations de Football 2009 (du 22 février au 8 mars à Bouaké et à Abidjan).

PHOTOS
: Serge BELOU (www.fanionsport.com)



Repose en paix Denis !

samedi 8 mai 2010

A vous l’antenne ! Précis de journalisme radio : le livre du mois



PHOTOS: Yacouba SORO
Arts and Graphics Technician
Webmaster/ARS Assistant
Embassy of the United States of America


L’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire a initié ce jeudi, dans ses locaux sis à Abidjan-Riviera Golf, une conférence-débat sur ‘‘ A vous l’Antenne ! Précis de journalisme radio’’. Panélistes et participants - au nombre desquels des journalistes, des étudiants, des professionnels de la communication, des médecins, des psychologues, des juristes et des membres d’associations de développement - ont longuement échangé sur les principes généraux de l’information, la pratique radio et bien d’autres aspects de la radiodiffusion.

Le livre du mois
Cette conférence-débat sur le livre de Paul De Maeseneer s’inscrit dans le cadre des rencontres d’échanges périodiques organisées chaque mois, par le centre culturel américain d’Abidjan, sur un ouvrage dit ‘‘ Le livre du mois ’’. Selon Mme Sita Liane Chakrawarti, Directrice de ce centre culturel, le choix de ‘‘ A vous l’antenne ! Précis de journalisme radio ’’ pour le mois de mai n’est pas fortuit. « Nous célébrions, il y a quelques jours, la journée mondiale de la liberté de la presse. C’est donc la contribution de notre institution à cette journée ». Aussi, a-t-elle dit en substance : les questions sur la démocratie, la liberté d’opinion et le développement des sociétés nous intéressent davantage. Mme Chakrawarti a souhaité que les réflexions se poursuivent dans les salles de rédaction, les radios et sur le ‘‘terrain’’.

Parlant du livre, objet de la rencontre, il est paru en 1989, en anglais. 10 années plus tard, soit en 1999, paraissait la version en français (traduit de l’américain par Dominique Walter). A ce jour, l’ouvrage est à son 5ème tirage, a-t-on appris. A vous l’antenne ! Précis de journalisme radio comporte 233 pages et 9 chapitres. Il traite entre autres de l’organisation d’une rédaction, de l’écriture radiophonique et des techniques de reportage et de diffusion.

Les discussions

Au total trois (3) panels animés par M. Sylvain Semilinko (anciennement journaliste, présentateur, correspondant pour l’Afrique de l’Ouest, Rédacteur en chef puis Directeur de BBC Afrique ; actuel Directeur de ONUCI-FM, la Radio des Nations-Unies en Côte d’Ivoire), Mme Kane Aminata Koné (journaliste à la Radio nationale islamique AL BAYANE) et M. Raphaël Kinabari (journaliste reporter puis Producteur et Sous-directeur de la production et des programmes de Radio Côte d’Ivoire ; il en est aujourd’hui le Directeur). M. Abo Fodjo Kadjo (Procureur général près la Cour d’Appel de Bouaké et premier Vice-président de la Conférence des chefs de cours et de tribunaux de Côte d’Ivoire) en était le Modérateur.

De l’avis du premier panéliste, en l’occurrence Sylvain Semilinko, journaliste de formation et praticien depuis plusieurs années, le livre de Paul De Maeseneer tire son originalité dans le fait qu’il soit ‘‘ le fruit de deux (2) années d’enquêtes sur le terrain’’. Pour S.Semilinko qui a fait la présentation générale du livre, le séjour de l’auteur en Malaisie, entre 1980 et 1982, en tant coopérant-expert associé à l’Unesco lui a permis d’observer les pratiques quotidiennes des radioteurs de cette région d’Asie du Sud-Est. A cette époque, l’on pouvait d’ailleurs noter des similitudes en termes de développement avec la condition des populations de nombreux pays africains. Les confrères Kane Aminata Koné et Koné Kinabari Raphaël ont respectivement exposé sur ‘‘ Radio : notions fondamentales’’ et ‘‘La pratique radio’’ qui sont les regroupements des 4 premiers chapitres de l’ouvrage A vous l’antenne ! Précis de journalisme d’une part et des 5 derniers chapitres d’autre part. Sont intervenues par la suite, les nombreuses questions de l’assistance et les explications des conférenciers. Un rafraîchissement offert par la représentation diplomatique américaine en Côte d’Ivoire a mis fin à ce rendez-vous.